Ogre de Barbarie
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Le Roi des Aulnes
En voila un livre difficile, peu accessible, en ce qui me concerne, la lecture fut laborieuse, et ceux pour deux point précis : L'écriture, certes lyrique mais lourde et pleine de fioriture de Michel Tournier, au delà de cela, il faut bien avouer que l'auteur à un certains sens de la poésie, nombreuses sont les phrases si profonde et si belle qu'on se retrouve à prendre une pause dans sa lecture pour en comprendre toute la portée. Le deuxième point pourrait s'apparenter à un défaut mais il n'en est rien pour qui poursuivrait sa lecture jusqu'au bout. Tournier nous laisse dans le floue, sans repère, sans horizon d'attente, et il ne faut bien souvent compter que sur la curiosité qu'inspire le livre pour
tourner les quelques 400 pages du roman.
Le Roi des Aulnes conte l'histoire bien singulière d'Abel Tiffauges, qui tout du long poursuivra un destin qu'il croit tracée, suivant ici et la les signes s'offrant à lui. Tiffauges n'est pas un personnage
attachant, du moins pas dans ses début, le protagoniste se montre froid et calculateur, encore une fois ce n'est que la fin qui justifiera ses actes, tous très symbolique.
La symbolique, c'est un peut le leitmotiv' du roman, philosophie, signe, destin, voila tout l'intérêt de ce récit, malheureusement, parfois le bouquin semble s'embourber en élucubration
complexe limitant la compréhension du livre sur sont ensemble. Et toujours, la fin et la pour établir le sens de tout ses "portes-enfants", ses "phorismes" ou encore ses "inversions maligne ou bénigne".
Et la fin justement, chef d'œuvre de poésie et d'humanisme, dans mon cas, j'en était bouleversé, ce qui est évidemment subjectif mais je pense ne pas être le seul à en avoir eu quelques larmes.
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Créée
le 18 mai 2016
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