Cette pièce, ma première de Shakespeare, peut paraître absurde et vide de sens à une première lecture (en tout cas, elle m'a laissé dubitatif), mais elle est en réalité d'une richesse assez incroyable plusieurs scènes se répondant et se complétant, telles la pièce des artisans avec les machinations d'Obéron et Puck dans la forêt. Cette pièce est une véritable porte de réflexion sur les rôles de l'amour et de la fantaisie/théâtre de nos vies quotidiennes, et le fait qu'absurde et véritable ne soient distincts mais puissent être confondus. Enfin, une critique amère mais déguisée de la société permet à l'œuvre de toucher à d'autres domaines, pour notre plus grand plaisir.
Créée
le 25 mai 2019
Critique lue 163 fois
D'autres avis sur Le Songe d'une nuit d'été
Ca pourrait finir très très mal, cette histoire où dans la forêt les humains vont trouver la subversion des codes sociaux et des sentiments. On y tombe amoureux des ânes, on y est torturé par l'amant...
Par
le 1 nov. 2010
14 j'aime
Je lis songe d'une nuit d'été que je trouve magnifique, ces vers notamment (je vous rassure je lis la pièce en français, mais c'est plus joli en anglais): [La flèche de Cupidon] fell upon a little...
Par
le 16 août 2018
10 j'aime
7
Me voilà arrivé au bout de mon petit marathon Shakespeare. 5 Pièces d'affilées, pour moi, pauvre néophyte. En moins de 10 jours, j'ai eu le droit à 5 pièces shakespeariennes. J'ignorais quasiment...
Par
le 3 avr. 2015
6 j'aime
Du même critique
Un voyage incroyable à travers les siècles et l'Europe du nord avec un héros atypique : un troll, qui va découvrir les humains. Le roman est inhabituel et intriguant : il m'a véritablement entraîné...
le 26 mai 2019
1 j'aime
Un roman lu (très) jeune et qui m'a marqué au possible : l'atmosphère sombre et poussiéreuse d'un monde qui a vécu et survit perdu dans ses ruines et surtout
le 24 mai 2019
1 j'aime
Rien de plus simple en principe : le genre de jeu dont on se lasse au bout de deux mois... et bien pas cette fois : j'y joue depuis 5 ans et continue à y jouer de temps à autre. Inexplicable, mais...
le 23 mai 2019
1 j'aime
