J'ai lu 320 pages et j'ai craqué. 320 pages sur 700 pages. Oui, l'idée était bonne, une île imaginaire où la peste divise un peu plus les habitants, chrétiens et musulmans, Turcs et Grecs, Chypriotes immigrés et Arabes. Oui, Mr Pamuk a commencé à écrire ce roman avant le covid.
Mais que de redites,on tourne en rond. On nous répéte la même chose encore et encore. Certaines phrases sont tellment alambiquées que j'ai dû les relire plusieurs fois, pourtant dans le dommaine des phrases longues MM Forest et Le Guillou sont de maîtres. Mais avec eux, les phrases sont belles, pas incompréhensibles. Problème de traduction : peut -être. Il y a tellemenr de coquilles que je me demande si les personnes (Critiques) qui ont encensés ce livre l'ont vraiment lu. Et que dire de l'épidémie elle même? Dans les 320 premières pages, il n'y aucune évolution des comportements ou si peu. Tout devrait devenir pire, plus de morts , plus de peur, mais non rien.
Que dire aussi de cette admiration de Mr Pamuk pour l'occident? Tout y est mieux: les occidentaux sont plus intelligents, plus sérieux, moins fatalistes et croyants etc..
Est ce pour cela que nous devons l'aimer quoi qu'il écrive?
Il paraît que la deuxième partie est meilleure, mais je n'en ai plus le courage.
Peut-être lirai-je une critique qui me donnera envie de continuer?