Que Fred Vargas m'autorise à emprunter le titre de l'un de ses romans pour intituler ma critique de "Proies", le remarquable dernier-né d'Andrée Michaud, romancière québécoise dont j'avais déjà adoré "Bondrée" en 2017.
C'est qu'ici encore, la forêt, les sombres bois sont un personnage à part entière, qui bruisse de mille rumeurs, mystères et périls.
À Rivière-Brûlée, au Canada, trois adolescents de 16 ans (Abigail, Alexandre et Judy) décident d'aller camper quelques jours dans la forêt voisine. D'entrée, nous savons qu'un drame s'est déroulé puisque le livre s'ouvre sur la phrase suivante :
Le mardi 18 août d'une année dont on se souviendrait plus tard comme une année de deuil et de stupéfaction...
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