Il s'agit d'un receuil de quatre nouvelles, "Rashomon", dont n'est pas tiré le film éponyme, "Dans le fouré", qui pose la base du film "Rashomon", "Figures Infernal", surement déjà vus autre part, la figure de l'artiste qui détruit pour créer, en tuant ce qu'il aime le plus, et "Gruau d'Igname", même sans être mauvais je n'en n'ai plus assez de souvenir - Le tout étant tiré de "Rashomon et autres contes" .
Connus pour ses réçits courts, contrairement à moulte auteur où ce sont "des à-côté", ici c'est bien plus le coeur de l'auteur, sa subtance, son style et ce qu'il veux travailler.
Je précise, puisque cela peux sembler étrange cette engoument autour de quelque nouvelles d'un auteur, comme cela était sa somme : Je pense que l'on peux partir de l'idée ici que c'est le cas.
Rashomon, c'est une de ses premières nouvelles, et si, comme pour les autres, elle est importante au vus du style pour son époque, début du vingtième siècle au japon, qui tranchais avec "l'écriture japonaise", je vais juste parler du ressentis.
C'est glacial, c'est mordant, c'est un petit moment de noirceur, et si vous voulez voir à quoi cela ressemble, il suffit de penser au plan les plus sombre dans "Le chateau de l'araigné" de Kurozawa, et la proximité artistique entre les deux se fait sentir dans bien des cas.
Dans le fouré, c'est une expérience de style ? Un histoire de plein de point de vus différent, avec le but de nous perdre, c'est réellement difficile de savoir ce qu'il en ais, on peut douter de tout, et il n'y a pas de conclusion, comme il n'y a pas tant de début ni de fin, si aujourd'hui la façon a mainte fois été réutilisé, je pense que cette nouvelle est celle qui touche le plus a l'idée de croisé des témoignage, et que même le témoignage ultime n'est pas tant plus crédible au fonds que les autres.
Figures Infernal quand à lui n'a pas la subtilité pour principe, c'est clairement la vision d'un artiste qui se détruit pour son oeuvre, et qui détruit pour son oeuvre. C'est glauque au delà du souhait, l'idée de toucher l'enfer est déjà un thème connus, ou pour sa rétorique, toucher le paradis, c'est quelque chose d'universel (oui l'enfer et le paradis telle nommé sont des concepts chértiens, mais j'utilise ses mots pour parler en général du divin, autant de la pureté (le paradis) que de la noirceur (l'enfer)), c'est le portrait de la destruction de sois dans une oeuvre : je ne peux que vous conseiller de jeter un petit coup d'oeil a "Moizi - Antoine Goya" dans cette video, il parle un peu de Nietzsche et du divin, c'est à 50:30.
Je ne vais pas épologuer longuement sur ses oeuvres qui sont on ne peut plus accessible, ce n'est pas un auteur complexe ou dur d'accès, c'est quelqu'un qui, en s'incrivant dans la culture japonais, a sut créer des histoires qui touche a l'universel, a tous, au travers des époques, aujourd'hui en étant la preuve.