J'aime ce livre où l'auteur par son ton désabusée retrouve spontanément l'esprit du roman picaresque, la peinture sociale est là et l'envers / enfer du rêve / réalité américain est décrit avec autant de détail qu'absence de complaisance. Mais il y a chez le narrateur une sorte de détachement de distance amusé qui offre de vrai moments de fou-rire (cf l'épisode de l'âne) en permanence il semble dire que dans cette vie son âme restera légère. Bref il n'a pas peur de vivre.
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Créée
le 19 mars 2019
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