Ça fait des mois que je m'accroche pour finir ce pavé d'un auteur que j'adore, John Irving.
Des mois que cette couverture hideuse traine dans ma chambre et que j'avance à coups de trois à cinq pages, moi qui peux bouffer en deux semaines des sommes de milliers de pages...
Mais aujourd'hui j'ai enfin fini "une prière pour Owen" et... Quelle claque !
Quel final incroyable ! Et qui justifie toutes les longueurs, les redites de ce livres caléidoscopiques qui trouvent son aboutissement dans cette destinée à rapprocher des mythes fondateurs œdipiens.
Un livre difficile mais puissant.
Big up John Irwing.