Excellente aventure, même si l’auteur aurait pu parfois ralentir le rythme et prendre le temps d’évoquer le requin taupe commun.
Et pourquoi ne pas en profiter pour parler de l’ange de mer ? Mais aussi de l’arnoglosse lanterne ; de l’athérine ; de la baliste cabri ; du bar moucheté ; de la blennie coiffée ; de la bonite à dos rayé ; du capelan de France ; du centrolabre ; du cernier commun ; du céteau ; du chinchard ; du chabot de mer ; du congre ; du coryphène dauphin ; du cténolabre ; de la daurade royale ; du dragonnet lyre ; du saint-pierre ; du sar commun ; du siphonostome ; du flet ; du flétan du Groenland ; du nérophis lombriciforme ; du rouget de roche ; du tacaud ; du targeur ; du thon blanc ; de la torpille marbrée ; de la gonelle ; de la grande vive ; du grondin gris ; du capucin à lignes blanches ; du vivaneau ; du malacanthe et du caligère bleus.
Je veux bien qu’on passe un peu vite sur le pageot acarné, commun, rose ; le palomète ; le pocheteau gris et noir ; le lançon ; le lépadogastère de Candolle ; la liche glauque ; à la rigueur sur le lieu jaune et la lingue…
Mais quid du gobie à grandes écailles, du gobie céphalote, du gobie léopard, du gobie nageur, du gobie noir, du gobie paganel, du gobie tacheté ? Je me le demande.
Par contre la partie sur les Zenarchopteridae est vraiment bien foutue.