"First Kill" est grossomodo, le gros clein du mec de la prod. Netflix aux communautés LGBTQ+ mais quand même chopper le pognons des hétéros et qui n'assume pas.
Les acteurs ne sont pas mauvais en soi, à part quelques seconds rôle qui font vraiment tapisserie, mais la mayonnaise ne prend pas, le message est amené avec la lourdeur d'une enclume, encore agravée parce que l'écriture essaie de nous convaincre qu'elle tente d'être subtile.
Niveau scénario, on a quelques petits retournement de situation sympa, mais au final, ça s'arrête là et ça reste maladroit. Pendant deux épisodes, on est convaincus que les vampires de cet univers sont inconnus du grand public, mais finalement non, ils ont des alarmes spécifiques, du coup, c'est complêtement pétés, ça n'a pas de sens.
C'est pareil niveau image : on a un effort, mais on ne va jamais au bout du truc, et du coup, même pas à la moitié.
J'ai décroché un peu avant la fin, j'admet.
En conclusion, cette série, c'est Twilight LGBT, mais du coup, ça reste "Twilight", et Twilight c'est pas génial.
A éviter.