La troisième série MCU de Disney+ est centrée sur un des personnages favoris des fans : Loki. Le frère adoptif de Thor a réussi à s’échapper de la timeline après son attaque de New-York dans Avengers - Endgame. Il aura affaire avec des agents temporels dans ces six épisodes, créés par Michael Waldron (proche de Dan Harmon qui s’occupera aussi de Doctor Strange & The Multiverse of Madness) et réalisés par Kate Herron (Sex Education, Daybreak). La critique AVEC SPOILERS de cette série est évidemment sur PETTRI.
Après les succès tant public que critique de WandaVision et The Falcon & The Winter Soldier, le MCU sur Disney+ continue de balancer bombe après bombe. Et on accueille Loki comme une bénédiction, tant le personnage est apprécié des fans de la saga, maintes fois ramené à la vie, comme dans Endgame, où il perturbe l’espace-temps en s'échappant d’un emprisonnement après les événements de New-York du premier film Avengers. La série commence là où s’arrêtait son récit à lui dans Endgame. Il se réveille loin des grattes-ciels de la Grosse Pomme, avant de vite se faire arrêter par des agents temporels le menant au TVA. Rien à voir avec la Taxe sur la Valeur Ajoutée (et pourtant dieu sait s’il y en a), il faut comprendre Time Variance Authority, soit l’Autorité de Variance Temporelle. Ce haut-lieu de bureaucratie au look très 70’s, dont on explore qu’une infime partie au cours des six épisodes de cette première saison, à une direction artistique ultra soignée, les design des décors étant de véritables petits joyaux à la lumière tamisée et travaillée. Grosse dédicace donc aux équipes déco et image, menées respectivement par Kasra Farahani et Autumn Durald, qui accomplissent ici un travail constant et réussi qui donne à la série toute sa saveur. La faute aussi à la compositrice Natalie Holt, qui crée une musique habitée et marquante, qui fera date dans un MCU parfois morne sur ce point précis, allant jusqu’à créer de réels moments de frissons.
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