Pas de quoi fouetter un chien.

A quel point notre société est puritaine? Je ne saurais pas répondre. On se tape à la télé et tout autant sur les plateformes le tréfond de l'humanité à longueur de journée; Et ça joue la vierge effarouchée à la moindre sortie du cadre de mamie. La "gauche néo-68" a toujours le doigt sur la gâchette pour censurer et imposer sa doctrine "déconstruite" puante (faites une soirée avec des sales réacs et vous allez savourer un bonheur perdu).

Pour rappel, quand vous faites le choix de regarder un animé japonais, vous acceptez de rentrer dans un autre monde, aux tabous bien différents des nôtres (mais plus analogue niveau fantasmes). Bref, un toutou qui lèche des bouts de pieds ou même un téton, ce n'est qu'un avant-goût de l'étalage proposé par les rois de l'animation.

Revenons à notre petit chien tout mignon. Bon, vous ne le verrez pas beaucoup et trop peu en vue subjective. On retrouve surtout les classiques plans "pervers so cute" (dans un animé dramatique, ils sont toujours là). Vraiment pas de quoi exciter une nonne. Car l'animation et le dessin pas folichons, confortent cet aspect comédie légère et distrayante. On suit même un petit scénario qui nous engage pour une seconde saison.

Continuez à crier au loup, quand ça taquine vos pires cauchemars... (10 millions de chiens en France quand même) Ou prenez un peu de hauteur et faites fonctionner votre cerveau en dehors du cadre "propre sur soi", pour profiter tranquillement de ce genre d'animé. C'est pas non plus l'animé de l'année, mais ça ne se prend pas au sérieux et ce n'est pas d'une frénésie folle qui vous saoule en 2min.