Laissé pour mort après sa confrontation avec Bloodsport, Christopher Smith alias Peacemaker est retrouvé par l'équipe d'Amanda Waller qui lui confie une nouvelle mission ...
James Gunn - s'ennuyant pendant la quarantaine - a écrit en huit semaines les huit épisodes de la première saison sans trop y croire, ... Pour finalement en réaliser cinq.
Inutile de demander grande finesse et/ou élaboration au projet, l'ensemble ressemble plutôt à un défouloir et une occasion de jeter pêle-mêle de l'action, de l'humour potache, un peu (...) d'hémoglobine et surtout de la bonne humeur.
Les références et clins d'œil ne manquent pas, musique, catch, BD, cinéma, ... Et bien sûr le film dont la série est dérivée.
Un script adapté au format série fouille un peu les personnages et leurs origines, beaucoup sont haut en couleur et ne manquent pas d'être réellement cocasses.
Une bande-son Hard Rock/Glam accompagne l'histoire.
Les effets spéciaux et bestioles diverses restent moyennement réussis.
Les costumes sont volontairement démodés ou de mauvais goût, les décors soignés.
Saison 1
Peacemaker/Chris Smith n'est pas mort, ... Le gouvernement l'associe officieusement à une équipe de bras cassés pour sauver la planète d'une invasion extra-terrestre.
Tout part facilement de travers et pas comme prévu, forcément.
Si l'ensemble est souvent bavard afin de faire passer nombre de blagues et situations débiles, le rythme ne manque pas et un format pas trop long (45mn) va dans ce sens.
Certains épisodes ne font guère avancer une histoire qui s'essouffle parfois mais la saison retrouve aussi souvent l'intérêt, l'originalité et la futilité qui peut faire son attrait.
Paid the cost to be the boss
60's Peacemaker