On pourrait se contenter de regarder le dernier épisode qui contient tout ce qui fait d'une simple série une date.
On pourrait, biberonné comme beaucoup par l'éloge des sociétés, balayer la série parce qu'elle fait mal là où s'agglutinent les "valeurs de beaucoup".
On pourrait, lassé par ses scénaristes qui se prennent pour plus intelligents qu'ils ne le sont, se fourvoyer et penser que c'est le cas, quand ce ne l'est pas.
On pourrait, dégoûté par une plateforme emblématique des tendances monopolistiques de l'entreprise 2.0 du 21ème siècle, refuser de se compromettre et crier à l'hypocrisie de l'auteur.
On pourrait, mais dans ce cas, on raterait ce qui est peut-être l'une des meilleures séries de l'année et on n'arriverait pas, du coup, à un dernier épisode, un season's finale, qui enterre tous les season's finale depuis l'invention des seasons...