Encore une énième version d'un futur crade aux allures d'usine des années cinquante et aux fringues qui hésitent entre l'antiquité, le Moyen Âge et l'Allemagne de l'est, aux temps glorieux du règne de la Stasi. On comprend très vite que la vérité est ailleurs, que l'héroïne toujours à la limite de la crise épileptique va résoudre ce mystère. Son charisme et son abnégation nous sont amplement et lourdement expliqués lors d'une scène incompréhensible d'un accident de pale (captivant...) qui entraîne l'obscurité dans le trou sans fond de cette colonie de survivants. On voit bien la suite... Bref, 1984 n'en finit pas de faire des petits, et on s'ennuie...