Le point fort de cette série, et c'est le seul: les décors. Les environnements sont superbement établis, parfois en lieux réels aménagés, parfois ce sont des fonds numériques. Le tout est parfaitement exécuté. Visuellement, c'est un régal.
Maintenant...
Le montage est lent, comme le sont tous les films depuis 15 ans environ. Les comédiens se donnent un air absorbé et mystérieux pour faire croire que c'est du bon jeu. Non! un jeu c'est jouer, faire, être vivant. Pas prendre une posture immobile et adopter l'air de refaire le monde intérieurement. L'histoire commence pas mal, mais comme d'autres séries, elle s'enlise dans les historiettes parallèles et le corps du film, à savoir la contagion est laissée en arrière-plan. La SF moderne: on reste sobre au point de ne plus faire de SF.
Et pour finir, ce qui est le plus évident pour qui sait voir, c'est-à-dire ceux qui ont un peu de vécu et de jugeotte: le wokisme, tadaaa!
Bravo, encore un film qui assure son financement grâce à sa complète soumissions aux règles édictées par Big Money, le fameux DEI (Diversity Equality Inclusion).
Tout y est: des gays barbus, une lesbienne de 14 ans super intelligente qui fout la pâtée à la ronde comme Stallone, des relations amicales et/ou amoureuses interraciales entre pratiquement tous les personnages principaux, des messages à répétition pour nous faire comprendre que les cathos, c'est mâââl, un prêtre catho violeur et pédophile, un hétéro confus.
En résumé, ils cassent tous les codes (parce que c'est supeeeeeeer): l'homme Blanc hétéro est soit gay, soit fragile mentalement, soit un prêtre pédophile. Les femmes ont du caractère, se sacrifient et sont les vraies héroïnes de l'histoire.
La bonne nouvelle est que la jeune génération ciblée par cette série et le jeu d'origine ne marche pas du tout dans la combine. On n'efface pas des millénaires d'évolution humaine biologique (remarquez qu'il y a le mot "logique") en tiraillant la réalité.
- Le 1er épisode de la saison 2 n'est pas mieux, Chaque scène de dialogue entre 2 personnages dure 10 minutes, les filles sont toutes énervantes et ont réponse à tout, sont têtues pour le seul motif de l'être, et pas pour une raison logique. La jeune héroïne refait des bisous à une autre miss (multi-partenaires), le catho de service ose se plaindre ("Nous sommes dans une église", bouuuuh méchant, ben oui mais on ne voit jamais personne se rouler des galoches dans une église, même entre hétéros)...
Le reste pour l'instant confirme les critères désastreux des début, plus de sadisme, plus de violence, plus de sexe entre femmes, plus de girl-boss, plus de femmes dans des rôles d'hommes.
- Ces scélérats doivent se dire, comme ces féministes décervellées d'aujourd'hui que "pourquoi il n'y pas de femmes dans tel ou tel rôle?". Réponse: parce que dans la vraie vie, celle que l'on vit, dans une situation pareille — invasion de zombies, donc se défendre, faire preuve de force physique et de sang-froid — les moins aptes à se défendre et à ne pas paniquer se font tous dégommer en premier. Donc logiquement, il restera plus d'hommes. Les femmes survivantes feront preuve d'un sang-froid hors du commun et d'intelligence. Une partie des femmes seront sous la protection d'un ou plusieurs hommes. C'est la réalité, on n'a pas choisi.
- Notez bien: les hommes et les femmes ne sont pas égaux dans leur fonctions et leurs compétences mais complémentaires (c'est ainsi que l'Humanité survit), et égaux dans leur valeur face au droit à la Vie. Pour que l'idéologie wokiste fonctionne — imposer une égalité de fonctions — ils doivent supprimer les valeurs, c'est pourquoi les gens de foi sont automatiquement stigmatisés, pourquoi l'homosexualité est promue et pourquoi toutes les relations sont inter-ethniques. Pour imposer des règles artificielles, il faut briser les lois naturelles.