Les meilleures BD de Superman selon arnonaud

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Un Superman vieillissant fait face à un monde dystopique qui n'a pas survécu aux 90's.
C'est tout simplement éblouissant, avec des peintures d'Alex Ross bien entendu sublimes et un scénario très bien mené par Mark Waid.

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La vie entière d'un Superman alternatif, vivant dans un monde proche du notre, où les super-héros n'existent pas, où toute l'Amérique à lu ou vu des récits consacrés à Superman. Et dans ce monde, un ado nommé Clark Kent (ses parents trouvaient ça drôle) se réveille un jour avec les pouvoirs de l'Homme de Demain.

Excellent récit, très simple, qui s'intéresse à la vie de cet homme. Comment il mène son quotidien, comment il gère ses pouvoirs et surtout comment il gère son secret. Ça humanise vraiment le mythe de Superman, ça le réduit à sa forme la plus simple et ça ne le rend que meilleur.

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Une compilation des passages d'Alan Moore sur le Superman du Silver Age. Trois récits absolument géniaux à découvrir absolument, qui rappellent à quel point Moore est un scénariste d'exception, et ce que c'est qu'une bonne histoire de Superman.

On a une histoire dessinée par Gibbons avant que lui et Moore fassent Watchmen, et le duo fait déjà des merveilles, montrant que le vilain Mongul peut être génial.

Une autre qui est un team-up avec Swamp Thing, avec un Superman fiévreux, une ambiance comics d'horreur ultra réussie et une narration super inventive.

Et enfin on a le récit qui donne son titre à l'album qui donne une conclusion aux aventures du Superman du Silver Age. C'est une incroyable célébration de l'univers du personnage, illustré par le dessinateur phare du perso à l'époque : Curt Swan, et encré pour le premier épisode par l'excellent George Pérez. C'est un final sombre, crépusculaire et en même temps poétique, rempli d'excellentes idées et de moments incroyables. Très bel hommage au héros.

Bref, un album à découvrir. C'est pas l'interprétation la plus moderne du perso mais c'est excellent.

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Superman version communiste, le mythe est revisité d'une très belle manière et Batman y porte une chapka.

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On ne compte plus les récits sur les origines de Superman, mais celui-ci de 98 est arrivé un peu avant que ça devienne vraiment la mode, et s'avère extrêmement réussi. Comme à chaque fois avec ces récits des origines, ça permet de lire un Superman très humain et de comprendre ce qui fait le charme du personnage. C'est d'ailleurs un récit qui est une excellente porte d'entrée pour découvrir le héros.

Mais surtout ce récit bénéficie d'une partie graphique absolument exceptionnelle. Tim Sale propose des superbes dessins qui deviennent absolument magnifique une fois colorisés à la peinture par Bjarne Hansen qui fait un travail tout bonnement exceptionnel. Tim Sale n'a jamais été aussi bien mis en valeur et les doubles pages deviennent de vrais tableaux. C'est fabuleux et on ne pouvait rêver plus bel écrin pour raconter les premiers pas de Superman.

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Max Landis est une ordure, mais il fait un excellent boulot sur les scénarios de cette série. Ca raconte encore les débuts de Superman, comme 1000 autres albums, mais ça les raconte très bien, à hauteur d'homme. L'idée d'avoir un artiste différent à chaque numéro peut faire peur mais c'est en fait une très bonne idée, chaque chapitre est associé à un moment précis des débuts du héros, à un aspect particulier, et le changement d'artiste permet de marquer ces changements d'ambiances. En plus le roster artistique est impeccable et on a que des dessinateurs et dessinatrices de très grands talents.

Je ne sais pas si je dois vraiment recommander ce récit vu que Landis est une ordure, mais j'en garde un excellent souvenir.

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Ca s'intéresse aux débuts du héros quand il débarque à Metropolis. Superman y est écrit un peu comme Spider-Man, donc forcément ça donne quelque chose de très intéressant et humain.

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La fin de Superman vue par les esprits farfelus de Morrison et Quitely. Une très bonne lecture.

Il faudrait que je le relise, parce que c'est à la fois un récit qui synthétise tout l'univers du héros et en même temps un récit qui je pense s'apprécie mieux si on connaît le lore classique du perso.

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Une sélection d'excellente histoires de Superman à travers son histoire. A lire, car les histoires sont vraiment de très bonne qualité. Un excellent moyen de découvrir le personnage et son univers, et les différentes ambiances qui ont traversées ses comics.

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Inédit en VF à ma connaissance au moment où j'écris ces lignes (février 2023).

C'est encore un récit sur les débuts de Superman comme y en a tant d'autres. Mais comme tant d'autres, c'est une période toujours aussi propice en excellentes histoires.

Marv Wolfman nous raconte donc les premiers pas de Clark Kent à Metropolis. Comment il va réussir à rentrer au Daily Planet, sa rencontre avec Lois Lane et Luthor et comment il va faire ses débuts en tant que super-héros.

C'est très humain, y a pas du tout de baston avec des super vilains et c'est quand même une lecture super chouette.

Les dessins de Castellini font le job, et collent plutôt bien à Wolfman avec leur côté un peu rétro, mais j'en suis pas plus fan que ça, et hélas on a déjà vu bien mieux sur le héros (mais difficile de passer après Sale et Quitely).

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Le Superman de PKJ est plutôt chouette, notamment pour tout le travail effectué pour rendre le Warworld riche et passionnant. C'est bourré de bonnes idées et arrivé à ce tome 3 on est très heureux de voir Superman enfin arriver sur la planète de Mongul et enfin faire face au despote. Hélas, alors que ça ne devrait qu'être une montée en puissance vers le climax de l'arc, c'est aussi le début d'une valse des dessinateurs et d'un changement de coloriste qui casse un peu le momentum d'un run pourtant prometteur.

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Le début du Superman de PKJ, c'est plein de promesses et c'est très beau grâce à un Daniel Sampere en pleine forme.
Ce qui est particulièrement appréciable c'est la richesse de l'écriture du scénariste pour construire les cultures extra-terrestres notamment le Warwold.

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Morrison revient sur Superman. Un récit assez particulier du fait de son contexte éditorial complexe qui est un peu inséré un peu au chausse-pied dans la continuité du Superman de Philip Kennedy Johnson.

Y a de très bonnes idées et de très bons passages, mais c'est pas non plus un récit inoubliable. Et c'est plus un récit de formation d'équipe qu'un vrai récit de Superman.

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Reprise du Superman New 52 par deux superstars, Geoff Johns et John Romita Jr. Y a pas mal d'idées intéressantes qui sont posées par Johns au début de l'intrigue, et il gère très bien la partie vie civile du héros, par contre, sur la fin de l'arc, c'est un peu trop classique voire même maladroit et seules les conséquences intéressantes de l'arc récupèrent vraiment la chose.

Aux dessins, si on aime le style de Romita Jr. (ce qui est mon cas), c'est du tout bon. Le dessinateur fait le job, avec des personnages d'allure sympathiques et des scènes d'actions puissantes. C'est pas forcément son travail le plus habile, même chose pour Klaus Janson à l'encrage, mais c'est franchement efficace.

Au final c'est pas un récit fondamental mais c'est très sympathique à lire tout de même.

Toutefois, je l'ai lu à sa sortie en VO quand on pouvait espérer que ça aboutisse à quelque chose alors que je crois qu'au final toute cette série s'est finie un peu en queue de poisson, ce qui ne va pas aider ce récit à passer à la postérité.

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Les débuts de Superman par Morrison. Efficace mais pas incroyable, et les back-up moisis bourrés en fin d'album pourrissent un peu la lecture.

Il faudrait que je réessaye cette série parce que c'est Morrison quand même, mais j'avais pas apprécié cette lecture plus que ça à l'époque.

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J'ai beaucoup aimé les débuts du Superman de PKJ, mais j'avoue que sur ce gros tome qui termine la saga du Warworld, il m'a un peu perdu. J'ai trouvé que ça se finissait en queue de poisson et les changements réguliers de dessinateurs n'aidaient pas à mettre en valeur le récit.

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Prélude du run de Phillip Kennedy Johnson sur Superman. Ca explique pourquoi Superman perd peu à peu ses pouvoirs, et ça insiste pas mal sur la relation entre Clark Kent et son fils devenu soudain un ado de 17 ans, pour préparer le terrain pour la série de Tom Taylor sur Jon Kent.

Cet aspect relation père-fils est plutôt réussie, mais le reste des intrigues est vraiment oubliable, plein de personnages jetables dont on se fout ou de nouveaux vilains au designs peu mémorables. Et si graphiquement Phil Hester s'en sort bien, je suis beaucoup moins fan de ce que propose Scott Godlewski.

Mieux vaut commencer le run de PKJ au tome suivant et zapper ces épisodes un peu trop basiques, qui sentent un peu le remplissage et qui ne sont pas très convaincants.

Annotation :

C'est très beau, surtout au début, mais le scénario peine à accrocher et ça se finit en eau de boudin.
Depuis, quand je vois des dessins de Jim Lee, surtout associés à Superman, je prends peur.