Les meilleurs westerns selon limma

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Déception pour Juliette Lewis que l'on ne voit plus souvent. En personnage central, elle ne sera qu'une figurante, dans un rôle de bandit barbare que l'on ne voit jamais exploser. Si l'ambiance vaut le coup d'œil, les décors choisis n'arrivent pas à remonter le niveau. Un western glacial gâché par son scénario bien léger, centré sur son seul groupe sans approfondir son environnement et par la caractérisation cliché de ses personnages.

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Premier film pour un genre western qui démarre sur les chapeaux de roue par son attaque de diligence. Ensuite malheureusement, une seconde partie axée sur un monologue à deux entre le pilleur de banque (Jamie Bell) et Mo (Laetitia Wright) où chacun tentera de définir sa notion de liberté avec plus ou moins de bonheur. Le genre huis clos aura le mérite de proposer une revisite du genre qui met à l'honneur ses décors et les espaces désertiques et enneigés sont du meilleur effet marquant à la fois la solitude et le danger latent avec une courte mais appréciée apparition de M.K.Williams. Dommage alors que Jamie Bell soit à la limite du surjeu pour un personnage aux diverses fluctuations, sans que l'on sache vraiment ce qu'il en est. On préférera Laetitia Wright, au physique androgyne parfait pour son rôle. Gachette fine, au caractère pugnace et un personnage féminin en lieu et place du cow-boy solitaire, confrontée évidemment à toute une bande aux mines patibulaires. Les sujets du racisme et du féminisme restent suffisamment sobres pour ne pas alourdir le propos tout en soulignant la difficulté et le concret des esclaves libérés. Mais le final expédié pour le duel obligatoire, est bien décevant. Reste un bon moment pour un genre de plus en plus rare.

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Gina Carano. Une adepte des sports de combats, mais ici ça ne collerait pas à l'époque, dommage ^^ l'actrice est un bon choix et son physique lui va si bien, mais le scénario tourne en rond avec une belle accroche au départ. Les persos caricaturaux avec le ponpon pour Nick Searcy. Cette femme prend bien des risques dès le départ c'est un gros bémol mais ça ne fait que confirmer que de surfer encore une fois sur la violence faite aux femmes à la mode, le réal se repose pour introduire son sujet sans prendre la peine de nous surprendre.

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Les acteurs ne suffisent pas à rattraper un manque de rythme mais surtout une histoire qui ne tient sur rien. On passe les dialogues inutiles et incessants, les personnages féminins, et le duel final !

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La musique.

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Entre autres westerns spaghettis, tous excellents

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Une découverte de ce film de kevin costner qui est une réussite par des images de toute beauté et un message de liberté tout du long. Marquant.

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Le sentiment de malaise qui est tout au long du film et qui traite "le choc des cultures" !

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Un renouvellement du genre western particulièrement réussi par sa noirceur et ses anti-héros.

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Pour ma découverte du western-thriller

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et scott glenn et kevin kline...

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Un western "sociologique" sobre dans sa mise en scène et un jeu d'acteur tout en finesse pour kevin costner.

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Dès la première scène le ton est donné pour l'arrivée dans sa ville natale d'un rescapé de la guerre de sécession, qui devra lutter contre la main mise d'une bande d'affreux personnages, sa famille et une épidémie de peste. Une entrée en matière emprunte d'onirisme, et de surréalisme, une ville fantôme, le vent et la poussière,pour un parti-pris plus violent, âpre et austère, metlting pot entre western spaghetti et ambiance crépusculaire, que l'on suit de bout en bout avec grand plaisir, malgré quelques crispations. la musique, une alternance entre deux, chanteuse voix aigüe, chanteur tonalité grave et répétitive de l'un à l'autre est stressante et déroutante. Quelques plans sur des visages figés et des ralentis trop souvent utilisés, apportent un effet appuyé à la mise en scène, mais l'ensemble nostalgique et hors du temps vaut le coup d'oeil. Avec en filigrane, le racisme ordinaire et un plaidoyer pour les minorités, quelques scènes de batailles maîtrisées, de grandes chevauchées, et quelques trouvailles "filmiques" qui sont intégrées avec fluidité et renforcent l'originalité de la mise en scène... Un rythme mis en avant par un choix de flashbacks intégrés parfaitement au présent qui renforcent l'aspect traumatique et un final de tragédie.

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A revoir pour les thèmes forts de l'amitié, l'amour, la liberté mis en valeurs par de beaux et grands espaces, et du lien indéfectible avec Whisky sa jument, de modernité, contrebalancé par un noir et blanc et une photographie splendides. Film lent mais doté d'un rythme alternant la nostalgie des idéaux perdus où la tragédie se lit tout du long, malgré la désinvolture de notre cow-boy. Une fuite en avant et une course poursuite révélant des moments forts. Un point supplémentaire pour d'excellents dialogues, bien sentis et teintés d'humour. Déconseillé aux âmes sensibles !...Encore un métrage qui signe les débuts de la fin du genre western. Tiré du livre de Edward Abbey de 1956 (The Brave Cowboy).