Après la sortie et le succès de The Wall, Roger Waters réitère la chose en sortant ce nouvelle album qui sera définitivement la chute du groupe. Vu comme étant la Bande Original du film de Alan Parker, l'album va créer énormément de distorsion dans le groupe. On retrouve ainsi le véritable premier album de Waters qui commencera en virant Richard Wright et laissant le reste du groupe en arrière plan. Mais rentrons dans le vif de cet album loin d'être si mauvais à quelque point près.
C'est donc un requiem de l'après second guerre mondiale que débute le bassiste. The Post War Dream n'est qu'une intro dont le groupe à le succès, à base de radio et de cri rappelant l'album précédent.
Puis on enchaîne avec Your Possible Pasts, l'un des premiers bon morceau de l'album. Rappelant énormément d'ancien morceau du groupe, on croît à un plagia alors que ce fût une ancienne création réfuté de Waters qui prend alors le dessus.
Et One of the Few reprend l'idée de l'ennui à l'école du terrible prof de Pink. Mais on parle plus ici de l'idée du vétéran de guerre comme sur The Hero’s Return, plus tard dans l'album.
Dans la nouvelle version de l'album, on retrouve un ancien morceau de The Wall à l'honneur du père de Waters. C'est évidemment le glorieux When the Tiger Broke Free, un morceau des plus militaire mais loin d'être marquant même en soulignant son côté épique.
C'est plutôt le titre The Hero’s Return dont je tiens à souligné le côté plus que Roger Waters quand l'on à écouté quelques uns de ses autres albums. Et c'est là qu'on remarque déjà que l'album n'est qu'une poubelle au morceau réfuté de The Wall, décevant ainsi petit à petit le spectateur. Puis l'absence de Wright se ressent aussi sur l'ambiance planante disparu de l'album.
The Gunners Dream, c'est ce morceau ressemblant plus à Pink Floyd qu'au autres et l'un des rares qui fût joué en live car la plupart de l'album conduira à un oublie total de tout les membres du groupes afin d'oublier leur différents. Mais le concept est tout de même présent. Au début, la radio signifié un début de guerre et sur ce morceau, on mentionne les attentats de Hyde Park et Regent's Park commis par l'IRA le 20 juillet 1982.
Puis Paranoid Eyes, c'est l'idée de la tombé dans l'alcoolisme pour les soldats, avec un côté trop calme pour le groupe mais qui réjouit assez les oreilles pour passer un bon moment sur l'album comparé au tout dernier.
Quand à Get Your Filthy Hands Off My Desert, il dépeint plusieurs guerre et ceux qui l'on déclaré comme Margaret Thatcher, de nombreuse fois cité chez les Pink Floyd.
Enfin, un autre morceau qui attira mon attention, c'est The Fletcher Memorial Home. Faisant référence à Eric Fletcher Waters, on parle ici de mettre tout les enfants qui on grandit trop vite dans une maison isolé et d'activé la Solution Finale. Les enfants sont évidemment les dirigeants de tout pays que Waters à toujours su critiquer en concert. A fond dans la politique, c'est ce qui énervera de plus en plus les autres membres du groupe, se laissant dire que le groupe s'éloigne de plus en plus de ce qu'il était à l'origine.
Southampton Dock, c'est une suite sur la lamentation des soldats, un côté redondant au cours de l'album, mais c'est ici qu'on comprend que la mort de son père à marqué le chanteur. Malgré le côté trop personnel, l'album n'en reste pas moins beau. Ce sont seulement son contexte et sa création qui détruisirent le groupe petit à petit jusqu'au départ de Waters peu de temps après.
Mais jusque là, c'est The Final Cut, le morceau titre qu'on écoute le plus. Décrivant ici l'isolement et la frustration d'un homme qui s'efforce de rétablir le contact avec le monde qui l'entoure et envisage le suicide, le morceau est des plus intimiste, prédisant le départ du leader trop politique. Probablement le morceau qui m'a le plus marquée de l'album, c'est aussi Not Now John qui en fait obligatoirement partie. Sur un ton de la société se désintéressant des problème de guerre, on entend pour la première fois de l'album la délicieuse voix de David Gilmour. Avec son côté peut-être trop commercial propre à tout l'album, on en ressort avec le morceau qui bouge le plus de l'album, soit pour moi le plus marquant. La première ministre prenant encore pour son grade, le morceau est à la fois calme et mouvementé de bruit d'industrie, créant cette réelle ambiance qu'à le groupe dans la plupart de ses albums.
Puis Two Suns in the Sunset clôture avec un holocauste nucléaire, conclusion inévitable pour un monde obsédé par la guerre et le pouvoir. C'est ainsi l'idée dépeint par Waters à la quasi-apogée d'une Guerre Froide marquante.
L'idée de cet album est politique, mais aussi commercial pour cette idée de compilation des morceaux réfutés. Alors oui, l'album à subit plus que des problèmes, des critiques et des crachats, mais les morceaux en reste sympathique malgré tout. Le synthé est la partie qui manque le plus, on ne peut le cacher, mais l'album est en soit plus un album de Waters, album étant loin d'être mauvais, au contraire. On y retrouve récemment Is This the Life We Really Want? ou encore Amused to Death. Malgré tout cela, Roger Waters quitte le groupe après les tentions qu'il aura engendré tout du long de cette création. Posant à la fin un dernier procès contre l'utilisation du nom du groupe par les membres restant, il les laissera finalement faire pour deux opus finaux des plus incroyablement Gilmour. Mais chacun part de son côté sans regrets, créant l'une des séparations les plus tristes de la musique à cause d'idéaux incompatibles.