Wish You Were Here, ce n'est pas un simple album. C'est mon deuxième préféré du groupe, et surtout, 5 morceau mythique du groupe.
Le début est calme, plat et langoureux grâce au synthétiseur de Wright et à la guitare de Gilmour. On entre dans le mystique avec l'un des meilleurs morceau du groupe, Shine On You Crazy Diamond et ses 5 premières parties.
Créer par Gilmour, on fini la première partie délicate pour y entrer dans la seconde, nous faisant découvrir le riff du Syd's Theme. En effet, Roger Waters veut dédié cet album à son chère ami partie loin du groupe. Le riff y est enjoué, suivi de la batterie de Mason et de quelques solos des plus plaisants à nos oreilles.
La troisième partie y est plus calme, comme la première, nous emmène loin avec le son du synthétiseur. Le solo qui s'enchaîne est plus blues que le précédent, donnant un côté rythmique lent mais entraînant.
Puis la quatrième partie nous fait découvrir les paroles, celle qui parle du Crazy Diamond que fût Barrett. Au début, la musique devait parlé de l'absence en général mais un événement particulier changea ce chef d'oeuvre à jamais, sur lequel je reviendrai plus tard. Les paroles, chanté par Gilmour, mais aussi Wright, Carlena Williams et Venetta Fields.
Sur la cinquième partie, le chant laisse place au arpège et au saxophone ténor sensuelle, autant que celui de Dire Straits dans leur premier album. Puis le son disparaît et la machine prend place.
Welcome to the Machine suit donc avec son monologue de parrain expliquant à son fils les dangers et les obscurités du futur de la musique industriel. Le synthé représentant la machinerie de cette industrie impie et sans relâche nous explique ici le futur sombre de la musique. C'est ce que Waters veut nous expliquer. C'est lui le parrain et l'industrie de la musique est son fils. Il veut suivre l'exemple de Syd en créant des musiques pour le plaisir et non pour l'argent. Mais la machine engouffre tout, comme notre esprit attiré par le son prenant du morceau, pouvant rappeler par moment certains morceaux futur du groupe. Comme la pochette l'explique, c'est un marché, vendre son âme contre l'absence. Les flammes de l'homme brûle petit à petit la machine qui part, laissant le son synthétique au loin. Les voix de la populace prennent place à cette machine infâme pour poursuivre le chef d'oeuvre.
La suite de l'album continu dans l'idée des affaires. Have a Cigar fût l'un des morceaux qui débuta les insatisfaction vis à vis de Waters et Gilmour. Ne savant qui la chantera, ce fût ** Roy Harper**, un ami des plus grand comme Syd Barrett ou encore Robert Plant. Les solos font place au chant et le morceau en reste marquant. Malgré son côté secondaire dans l'album, il réussi à s’instaurer dans les plus grands titres du groupe avant d’enchaîner sur l'un des plus grands. Le son se fait plus petit et la radio laisse place au titre le plus important du groupe.
Les infos passent à la radio et après un élan de musique classique (la Symphonie n°4 de Tchaikovsky), ils lancent le plus grand émotionnellement parlant des titres de Pink Floyd: Wish You Were Here. Reprenant un air de If It's In You, chanson solo de Syd Barrett, retransmis depuis la radio de Gilmour pour être accompagné par une guitare à 12 corde, puis finalement, un souhait que le maître soit là, chanté par un Waters désespéré. Le solo de Gilmour y est mythique, de même que les accords simple de Roger accompagné de sa voix susurrant, pour finir sur le son du vent provenant d'un désert. A mon goût, la meilleur musique du groupe de part ses émotions. La musique part dans les landes et finit sur la suite de Shine On You Crazy Diamond.
Les basses se suive dans le vent de Wish You Were Here et la maladie des guitares et du synthé laisse place à se manque et cette absence. Puis le solo de la guitare lap steel débute. Martelé par Gilmour, le son hurle la tristesse du groupe. C'est la sixième partie du morceau qui commence la fin. Et la fin n'en sera que plus révélatrice.
Enchaînant sur la septième partie, identique à la quatrième, poursuivie par la huitième partie, l'un des plus grands solos du groupe joué par Waters.
La fin en reste la plus marquante. Mais avant tout, je me dois de raconter cette histoire. Ce fût pendant l'enregistrement de l'album que la coïncidence pris part à l'aventure. Un fantôme méconnaissable apparut pendant l'enregistrement de la première partie de l'un des plus longs morceau du groupe. Syd Barrett lui-même vint à la rencontre de ses anciens amis. Détruit par la folie, l'alcool et la drogue, l'ex-chef des Pink Floyd déclara simplement, à l'écoute de l'enregistrement, Bah, c'est de la variété. Les membres en furent troublé par ce retour aussi inattendu soit-il. Après une cour discussion des plus intimiste, le groupe se sépara une seconde fois, laissant comme dernière trace de Barrett, le son d'une de ses musique, See Emily Play, dans la neuvième partie de Shine On You Crazy Diamond. Symbole de marche funèbre, la dernière partie de l'album reste des plus émotionnelles.
Horrifié par ce qui était arrivé à leur ancien camarade, le groupe resta marqué par cette expérience, expliquant l'implication émotionnelle qui règne dans l'un des meilleurs albums de Pink Floyd, si ce n'est le meilleurs au vue de ses cinq morceaux plus que parfait.