La caste des méta-bourrins ! (Spoiler ?)
Aaah, la caste des Méta-barons !
Au début, je n'aimais pas vraiment : dessin trop organique, un brin trop glauque. Puis j'ai vu la lumière et j'ai compris le principe de la surenchère.
Surenchère de violence, d'amours contrariés et malsains, de code d'honneur au milieu d'un univers ou la corruption est partout. De twist scénaristiques impossibles et de vision freudienne. On commence par éradiquer des tribus barbares et des flottes pirates dans les premiers volumes, on arrache une main, puis dans les derniers on détruit des univers entiers.
Pourtant malgré tout cette débauche, la caste des méta-barons est plus riche qu'il n'y paraît, les personnages naissent, évoluent, puis meurent et ici et là, Jimenez montre qu'il a possède une certaine culture en citant des proverbes zens japonais, et en donnant un twist magnifique qui fait chaud au coeur.
A lire, mais attention aux coeurs sensibles.
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