Shonen à l'européenne, Lastman semble hurler au visage du lecteur toutes ses réferences et son SWAG pour geek branché.
Malheureusement il ne suffit pas de brosser le public dans le sens du poil via des tas de réference à la pop culture pour faire une bonne BD. Malgré le traitement graphique épuré et des dialogues legerement décalés, l'histoire n'incarne qu'une faible amorce de tournois de shonen avec tout les clichés du genre déjà largement surutilisés par les Dragon Ball, Naruto and co.
Lastman démontre bien que singer les maitres du genre ne fait pas forcement une oeuvre de qualité et que plus des auteurs cherchent à se définir moins ils ressemblent ce qu'ils prétendent être