Critiques de Trois souvenirs de ma jeunesse

Sergent_Pepper
8

Dédale & écarts.

Pour le spectateur fidèle à Arnaud Desplechin et après l’expérience américaine de Jimmy P., Trois souvenirs a tout du retour nostalgique sur les terrains familiers de sa filmographie. Le Roubaix de...

le 6 juin 2015

107 j'aime

9

Velvetman
9

L'érudition de l'amour

L’amour est un vieux serpent de mer. Le temps passe, l’identité se dilate, les souvenirs s’égarent et s’éparpillent entre la routine inhérente d’un Roubaix lassant et le romanesque idéalisé d’une vie...

le 13 oct. 2015

77 j'aime

4

B-Lyndon
8

Esther. (des vies possibles)

Lors de la première vision du film, et comme devant tous les Desplechin, j'en suis ressorti ému, très heureux. C'est l'effet que me font ses films : leur complexité, leur densité, leur énergie aussi,...

le 22 mai 2015

30 j'aime

11

FredEric4
3

De l'art de se toucher la nouille

OMG que ce film est détestable. Que ce soit les choix de réalisation (l'effet rétro de l'annonce des parties, les "split screens" et les effets "scope", la troisième partie qui occupe à elle seule...

le 28 mai 2015

26 j'aime

7

Fritz_Langueur
10

Trois petites notes de tragique...

Etymologiquement, le dédale, est un lieu où l’on peut se perdre, un ensemble compliqué, inextricable. Pas étonnant alors que le personnage fétiche de Desplechin porte ce nom. Paul Dédalus, où comment...

le 21 mai 2015

26 j'aime

2

chester_d
4

Feuilles mortes

Arnaud Desplechin a retrouvé ses vieilles lettres d'amour. Et avec elles les souvenirs d'une jeunesse studieuse, que son film situe entre le lycée Baudelaire de Roubaix et les couloirs de la fac de...

le 26 mai 2015

24 j'aime

BrunePlatine
9

La nostalgie heureuse

Première incursion dans le cinéma d'Arnaud Desplechin et quel superbe voyage ! Moi qui suis avant tout une littéraire, je dois dire que je trouve ici mon bonheur ultime : de très beaux textes, un...

le 8 févr. 2016

24 j'aime

6

pilyen
3

Mais pourquoi nous imposer cela ?

"Trois souvenirs de ma jeunesse " ou comment je me suis disputé ...(ma vie cinéphile) avec le dernier Desplechin. Je pose d'abord le cadre. Les films du cinéaste ont toujours eu le don de m'agacer...

le 22 mai 2015

17 j'aime

1

Moizi
8

Quand on n'a que l'amour

Ah le dernier Desplechin ! Après la déception qu'était Jimmy P. je l'attendais celui là et c'était excellent ! Alors j'ai peu de souvenirs de comment je me suis disputé (ma vie sexuelle) qui m'avait...

le 20 mai 2015

17 j'aime

6

oso
8

Quand le grand berger joue avec le cœur tendre de ses brebis

Difficile de trouver dénominateur commun dans ce corps à corps destructeur de deux âmes complémentaires qui se renvoient leur amour au coup par coup. Où il est question d’une distance qui décuple la...

Par

le 22 déc. 2015

15 j'aime

2