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Le démon du midi
Troisième long-métrage du jeune Claude Chabrol, "A double tour" est l'un des premiers films estampillés "Nouvelle vague", sorti quelques mois à peine après "Les quatre cent coups". Et divine...
Par
le 31 mai 2022
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À double tour par Nicolas Laurent
Le film démarre de manière assez bouffonne, avec la musique et le jeu des acteurs. Jean-Paul Belmondo excelle dans ce registre, il est hilarant ! Puis on bascule dans un registre plus grave, cher au réalisateur.
La narration non linéaire est une bonne idée puisqu'elle fonctionne bien. Au niveau de la réalisation, les plans sont réussis, sauf quand la caméra se met à bouger puisque ses mouvements manquent alors de fluidité.
"A double tour" constitue une critique acerbe de la bourgeoisie de province, de son hypocrisie, de sa lâcheté et de la pourriture qui se cache derrière des masques de perfection, thème qui deviendra par la suite celui de prédilection de Claude Chabrol.
La narration non linéaire est une bonne idée puisqu'elle fonctionne bien. Au niveau de la réalisation, les plans sont réussis, sauf quand la caméra se met à bouger puisque ses mouvements manquent alors de fluidité.
"A double tour" constitue une critique acerbe de la bourgeoisie de province, de son hypocrisie, de sa lâcheté et de la pourriture qui se cache derrière des masques de perfection, thème qui deviendra par la suite celui de prédilection de Claude Chabrol.
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le 10 févr. 2013
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