À Peine j’ouvre les yeux nous présente Farah (Baya Medhaffar), une jeune fille brillante issue d’une famille plutôt aisée (le père ou beau-père (Lassaad Jamoussi) semble être un cadre/haut-cadre d’une société de construction et la famille emploie une femme de ménage à la maison) dans une Tunisie qui n’a pas encore commencé son printemps arabe. Bien que sa famille la destine à une carrière de médecin, Farah n’a qu’une chose en tête, la musique. Elle fait partie d’un groupe au sein duquel elle chante des chansons subversives. Sa famille et ses amis la préviennent du danger qu’elle encourt à chanter de tels messages. Farah choisit de continuer à chanter, jusqu’au jour où elle se fait enlever, interrogée et torturée...
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