Le renvoi après un festin, pourquoi pas.
Après une mangerie, y a gênance...
L'estomac lourd, j'allais me fendre d'un couplet quand je suis tombé sur le texte de
Voracinéphile, qui dit (presque) tout le mal qu'il faut dire de cette godaille.
Sans oublier de souligner la poignée d'aspects goûtus de cet opus-là,
(la qualité esthétique générale et l'excellente scène 'gravité zéro' par exemple),
« Vora, dernier survivant du Cinémaparadiso » pointe impeccablement d'un doigt vindicatif et encore tout graisseux les lignes épaisses de la recette de... ... ... je vérifie... Fede Alvarez : recyclage paresseux, clins d'œil embobelineurs, régurgitation écœurante.
Question lourdeur il en oublie, d'ailleurs : les noms chinois des conquérants de l'espace et la pilote chinoise omnisciente sentaient si fort la putasserie marketing que j'ai failli dégueuler mon Courvoisier.
Mais c'est de ma faute, après tout...
J'aurais dû m'en douter : l'affiche louche bien plus sur le triple-cheese MacMerde que la tarte au citron de grand-mère.