Les légions de Jules César ont envahi la Grande-Bretagne. Astérix décide de venir en aide à son cousin Jolitorax en apportant de la potion magique au village irréductible de ce dernier.
S'il ne bénéficie pas de l'originalité d'écriture des Douze Travaux, cet opus reste bien supérieur à la faiblarde "Surprise de César" ainsi qu'au fade et foutraque "Coup du menhir" grâce à la toujours hilarante satire anachronico-goscinienne du monde British et de son flegme saupoudrée de bizarreries langagières et syntaxiques, l'essentiel est gardé par rapport à la bande dessinée.
Je dis, la bande originale signée Vladimir Cosma est plus qu'honorable et la chanson de Cook Da Books est bien meilleure que celle de Plastic Bertrand (sur la même mélodie), plutôt.