Je reportais sans cesse la vision de ce film à cause du petit logo Disney, je n'aurais pas du.
Le découpage en trois actes incarne la poupée gigogne définitive du patriarcat, du poids de son histoire à ses différentes ramifications, des plus ordinaires aux plus violentes. L'horreur est aussi viscérale et frontale que subtile. Que ce soit dans sa mise en images excessive, souvent grand guignolesque ou parfois carrément gore, le film ne perd jamais de vue les thématiques qu'il explore. Et il le fait très bien.
"Barbare" sera sans doute opportuniste pour certains, un produit du wokisme pour d'autres, pour moi c'était une claque dans la gueule.