Deux ans après sa "fausse suite" nommée Oliver et Compagnie, le célèbre duo de souris aventurières eut enfin droit à son deuxième opus.

Ainsi, treize ans après Les Aventures de Bernard et Bianca sortit sur grand écran Bernard et Bianca au Pays des Kangourous.

Ce fut la première suite d'un Grand Classique Disney avant de nombreuses autres qui, contrairement à celle-ci, sortirent en direct-to-video. En effet, quoi de mieux que la suite d'un film connu et apprécié pour faire venir du public en salles?

De plus, convaincu que, grâce au succès de La Petite Sirène sortie l'année précédente, Bernard et Bianca au Pays des Kangourous serait forcément un carton grâce à son Second Âge d'Or naissant, Disney investit de nombreux moyens dans ce film contrairement au film précédent qui en avait bien moins.

Ainsi, contrairement à Les Aventures de Bernard et Bianca sortit en plein Dark Age avec un aspect visuel et une animation pas toujours à la hauteur, Bernard et Bianca au Pays des Kangourous est visuellement très beau avec des traits et une animation plus fluides proches de ceux qu'on retrouvait dans La Petite Sirène.

De plus, les voix du volet précédent sont de retour pour notre plus grand plaisir que ce soit en VO ou en VF.

Enfin, à quelques exceptions près.

En effet, Orville ne revint pas sa voix VO, Jim Jordan, étant décédée avant le tournage.

Ceci fit que l'albatros fut remplacé par un autre oiseau de son espèce nommé Wilbur doublé par John Candy, un humoriste de l'époque, en VO et Emmanuel Jacomy en VF.

Roger Carel (RIP) revint pour doubler Bernard et Béatrice Delfe revint pour doubler Bianca (tout comme la VO du personnage Eva Gabor [RIP]).

Il y eut également de nouveaux venus comme l'enfant Cody doublé par Boris Roatta ayant doublé Polochon dans La Petite Sirène et ayant été la voix française de Macaulay Culkin jusqu'à l'arrêt en catastrophe de la carrière de ce dernier.

Triste histoire.

De plus, il y eut également une souris mâle nommée Jack doublé par Jean-Pierre Gernez. Un personnage sympathique semblant être un mélange de Crocodile Dundee et Indiana Jones.

Oh! Et n'oublions le type de personnage le plus important de Disney: le méchant! Celui-ci a pour nom McLeach doublé par André Valmy semblant prendre beaucoup de plaisir dans son rôle.

Malheureusement, Bernard et Bianca au Pays des Kangourous eût la malchance de sortir la même année que le culte Maman, j'ai raté l'avion. Ce qui entraîna l'annulation de sa promotion et fit sombrer le film dans l'oubli malgré de nombreuses critiques positives mais parvint à être à peu près rentable grâce à sa sortie en VHS (bien que beaucoup de gens ignorent encore son existence aujourd'hui)

_F***u Jeffrey Katzenberg! (si ces mots ne vous disent rien, je vous conseille de faire des recherches sur ce type)_

Résultat, le bide de ce film ainsi que le décès d'Eva Gabor, voix originale de Bianca, entraînèrent l'impossibilité de sortir un troisième opus dont l'écriture allait tout juste commencer.

Mais en dehors de tout ça, l'échec de ce film est surtout dû au fait qu'après La Petite Sirène, le public était plus intéressé par les contes détachés du réel que par des films se déroulant dans un cadre spatio-temporel ayant une certaine réalité. N'oublions pas que même si les héros sont des animaux anthropomorphes, le film contient des humains habillés comme vous et moi et qu'on y parle de New York ou encore de Sydney.

La preuve, les films suivants comme La Belle et la Bête, Aladdin...eux, ont été des succès commerciaux remplissant les poches des studios de la souris aux grandes oreilles.

Mais Bernard et Bianca au Pays des Kangourous mériterait-il d'avoir plus de reconnaissance que d'autres films Disney? Est-il un bon film injustement négligé par le public?

Quelle en est l'histoire?

En Australie, un petit garçon défenseurs des animaux nommé Cody est enlevé par le monstrueux braconnier McLeach ce dernier espérant que l'enfant lui révèle la cachette d'un nid d'aigles.

Les souris considérant les enlèvements d'enfants impardonnables, SOS Société fait appel à Bernard et Bianca qui partiront sauver l'enfant des griffes du cruel braconnier.

Non, non. Ce film n'a pas des aspects pouvant nous sembler familier.

Comme dit plus haut, contrairement à Les Aventures de Bernard et Bianca ayant un aspect visuel et une animation pas toujours à la hauteur, Bernard et Bianca au Pays des Kangourous est visuellement très beau avec des traits et une animation plus fluides très agréables pour nos yeux. Aspects renforcé par la musique de Bruce Broughton ayant composé un thème principal très entraînant parfaitement bien pensé pour un film d'aventure.

https://www.youtube.com/watch?v=KjkdOAjtJ1k

Mais en dehors de ces progrès, le contenu du film est-il intéressant? Et bien oui.

En effet, les retrouvailles avec notre duo de souris sont agréables puisqu'ils sont égal à eux-mêmes dans cette suite. D'autant plus que l'arrivée de Jack, la souris aventurière, rajoute une dynamique au duo aidant nos héros à s'en sortir dans une nature large et hostile d'un gigantisme déstabilisant et empli d'animaux aussi bien amicaux que dangereux.

Seulement, la présence de Jack n'est pas toujours positive pour les personnages. En particulier en ce qui concerne Bernard. En effet, ce pauvre gars tente de demander Bianca en mariage à plusieurs reprises mais à chaque fois survient une catastrophe: soit un danger, soit un Jack draguant ouvertement Bianca sous le nez d'un pauvre Bernard délaissé et une Bianca ne semblant même pas se rendre compte de la rivalité s'installant entre Bernard et Jack pour gagner son coeur.

Cependant, Jack n'est pas montré comme une ordure puisqu'il est montré comme quelqu'un ayant sincèrement d'aider sans compter le fait qu'il essaie d'encourager Bernard à être un peu plus relax dans la nature. De plus, quand Bernard parvient ENFIN à faire sa demande en mariage, Jack se montre bon joueur et va même jusqu'à féliciter Bernard pour son acte.

Puisqu'on parle de Bianca, vous souvenez-vous de ce que j'ai dit sur elle dans ma critique du premier volet?

Bianca était considérée comme un personnage révolutionnaire. En effet, le plus souvent dans les films des années 30 à 90, les personnages féminins étaient des demoiselles en détresse sauvées par des héros ou bien des pseudo-héroïnes assez peureuses dont l'émancipation ne pouvait être amenée que par le soutien d'un personnage masculin sûr de lui. Hors dans Les Aventures de Bernard et Bianca, c'est l'inverse. En effet, durant une bonne partie du film, Bernard a, le plus souvent, envie de fuir le danger tandis que Bianca n'hésite pas à s'y jeter tête baissée tout en tentant de pousser Bernard à se dépasser.

Malheureusement, dans ce second opus, la personnalité de Bianca a été jetée à la poubelle. Certes, elle a toujours le goût du risque et n'hésite pas à se lancer dans une mission dangereuse de l'autre côté du globe juste pour sauver une vie comme elle l'avait fait dans le premier film, mais durant la mission de sauvetage, elle est assez effacée par un Jack en mode "homme d'action" pratiquement en permanence et un Bernard dépassé par un rival n'arrivant plus à savoir s'il devrait sa demande en mariage ou non.

Sans compter le fait que c'est lui qui mène McLeach à sa perte et aurait presque sauvé Cody tout seul si l'aigle Marahute n'était pas intervenue à la dernière minute.

En gros, elle n'est plus que l'objet d'un triangle amoureux et non plus un personnage à part entière.

Les seuls actes pro-actifs qu'elle accomplit sont soigner un Bernard blessé et ouvrir un cadenas pour permettre à elle-même et d'autres personnages de s'échapper d'une cage. C'est triste.

Si elle n'avait pas remis Jack à sa place en disant que Bernard est capable de sauver des vies lorsque "l'homme d'action" montre des doutes sur le fait que Bernard serait capable d'être héroïque, on aurait eu l'impression que le personnage n'avait plus rien à voir avec la Bianca du premier opus.

Ironique qu'un film des années 70 contienne un personnage féminin plus progressiste que celui d'un film des années 90; période où le mouvement girl-power était apparu dans la fiction.

Parlons maintenant des autres personnages.

Avant de parler de Cody, petit rappel au sujet de Penny avec une autre citation de ma critique du premier opus de Bernard et Bianca

Penny n'est pas très intéressante. C'est juste un typique personnage d'orpheline ne rêvant que d'être adoptée. De plus, elle pleure plus qu'autre chose pendant le film. Ajouté à cela le fait qu'elle parle plus à son ours en peluche qu'aux autres personnages finit par la rendre agaçante. Toutefois, elle n'en est pas moins courageuse puisqu'elle n'a peur de crocodiles hostiles ou remets à sa place le lâche Snoops quand il le mérite. Sans compter le fait qu'elle se moque de Médusa de manière assez drôle.De plus, le fait qu'elle se lance à la rescousse de Bernard et Bianca dans un tourbillon fait qu'elle est moins inoffensive qu'elle ne le parait et la rends même héroïque.

Maintenant, parlons de l'enfant de cet opus. Cody a-t-il une personnalité plus appréciable que celle de Penny? Est-il plus agréable à suivre que l'enfant du premier film?

Et bien difficile à dire.

En effet, dès son apparition, Cody apparait comme un personnage sympathique et courageux, risquant sa vie pour des animaux piégés par un braconnier et crée même des liens affectifs avec eux. De plus, il n'hésite pas à lever la voix sur son kidnappeur se fichant bien de ses menaces allant même jusqu'à le narguer. Ce que Penny ne faisait jamais vu qu'elle pleurait plus qu'autre chose.

Et c'est tout. Certes, on peut apprécier son côté badass mais cet aspect parait très factice et ne donne pas au personnage quelque chose d'authentique vu que, contrairement à Penny, il n'est jamais triste et n'a pas peur alors qu'il est face à une brute n'hésitant pas lui lancer des armes sur la tronche pour le faire parler.

Hors, il devrait avoir de bonnes raisons d'avoir peur et d'être triste vu ce que McLeach lui fait subir durant tout le film et qu'il n'a sans doute plus aucune chance de revoir sa mère après avoir été enlevé.

Penny, elle, avait des réactions tout à fait compréhensibles puisqu'elle était isolée et séquestrée par une ignoble femme se servant d'elle juste pour avoir un diamant lui ôtant ainsi tout espoir de trouver une nouvelle famille.

En parlant de famille, on apprends, au cours du film, que Cody n'a plus de père. Et cela n'amène nulle part alors que ça aurait pu servir à quelque chose.

En effet, là où Médusa et Snoops pouvaient être les symboles de mauvais parents abusifs pour Penny, McLeach, lui, aurait pu être une figure paternelle castratrice faisant souffrir cet enfant dès qu'il est entre ses mains.

Mais non! Rien de tout ça. À la place, on a juste un enfant n'ayant aucun autre trait de personnalité autre que celui d'être courageux dans n'importe quelles circonstances.

Le seul moment où Cody a vraiment peur est lorsque McLeach est sur le point de le jeter aux crocodiles et qu'il manque de se noyer avant que Bernard ne le sauve.

Mais que valent les autres personnages?

Heureusement, contrairement à ce qu'on aurait pu croire, Wilbur n'est pas une copie conforme d'Orville.

En effet, là où Orville, bien que drôle, restait digne en toutes circonstances malgré ses maladresses, Wilbur, lui, fait rire en permanence ne faisant preuve d'aucune dignité, ridicule dans le bon sens.

Ce qui est à la fois une qualité et un défaut. En effet, contrairement à Orville qui disparaissait de l'intrigue dès qu'il n'y avait plus sa place, Wilbur, lui, est présent pendant une bonne partie du film retardant ainsi l'intrigue inutilement de manière frustrante.

On sent que le personnage est très présent pour compter sur la popularité de John Candy afin de ramener du monde dans les salles et non pas parce que l'humoriste joue un vrai rôle qui aurait dû rester au second plan pour le bien du scénario.

_Ce qui est ironique vu que le film a fait un énorme bide._

Maintenant que nous avons finit de parler des gentils, parlons de ce que nous préférons dans les Disney: LES MECHANTS!

McLeach est un méchant jouissif. Certes, s'il a la même motivation que Médusa, à savoir se servir d'un enfant pour arriver à ses fins, il a une manière très différente de le faire.

En effet, il ne fait pas de la manipulation psychologique et ne dit pas des propos horribles à l'enfant. C'est un sadique colérique ne cachant jamais son jeu, une brute ignoble n'hésitant pas à maltraiter mentalement et physiquement un enfant pour trouver de quoi s'enrichir.

De plus, il est intelligent. En effet, ce dernier n'hésite pas à jeter les affaires de Cody aux crocodiles afin que celui-ci soit déclaré mort rendant impossible le sauvetage de ce dernier ou parvenant à le manipuler afin qu'il le mène involontairement jusqu'au nid de l'aigle.

Et l'enfant n'est pas le seul à être victime de son caractère dangereusement brutal. En effet, McLeach a un varan nommé Joanna. Si elle apparaît comme une vicieuse bête rampante effrayante envers les protagonistes, quand elle est avec McLeach, elle est victime en permanence du sadisme du braconnier n'hésitant pas à lui donner des coups mais également à la rabaisser à la fois pour soulager sa colère mais également parce que ça l'amuse.

Mes facultés mentales sont deux fois supérieures à ta cervelle de petit poids.

Ce qui le mène à sa perte vu que lorsqu'il est danger de mort, Joanna ne vient pas le sauver se contentant de lui faire un signe d'adieu avant l'inévitable en guise de vengeance.

En dehors de ces personnages, il y a également le majestueux aigle Marahute. Alors que, contrairement aux autres animaux, elle n'est pas anthropomorphe et ne parle pas, toutes ses émotions se voient dans ses grands yeux si expressifs qu'elle n'a pas besoin de prononcer un mot pour qu'on s'attache à elle dès son appariton.

Maintenant que nous avons parlé des personnages, parlons du reste du film.

En dehors d'un Wilbur trop présent, on peut reprocher à ce film de faire beaucoup de remplissage avec d'autres scènes ne menant nulle part au point que le récit manque de fluidité.

En effet, nous subissons tout un plan d'évasion d'animaux où, au final, personne ne s'échappe.

Ajoutons à cela le fait qu'on ne sait pas ce qu'ils vont devenir à la fin du film, qu'on ne voit pas Cody rentrer chez lui alors qu'il aurait été bien de voir la réaction de sa mère le croyant mort, qu'on ne voit pas Bernard et Bianca revenir à New York et que le film s'achève avec un énième passage de Wilbur et l'on se retrouve avec un récit sans véritable conclusion laissant une sensation d'inachevé. Comme si l'équipe du film n'avait pas eu le temps de le terminer et l'avait sorti alors qu'il était encore en cours de production.

De plus, dans la VF, au générique de fin, nous subissons une chanson d'Anne Meson, star Disney Channel de l'époque, plus agaçante qu'autre chose.

Et en dehors de tout cela, si la majorité des personnages sont réussis ou appréciables, il y en a, hélas, un qui est absolument raté au point d'être encore plus insupportable que B.E.N dans La Planète au Trésor. Frank, le lézard du désert, n'arrête jamais de l'ouvrir et surtout d'hurler au point d'en devenir un poids que aussi bien pour les spectateurs que pour les autres personnages. De plus, ceci n'est pas aidé par le fait que c'est un abruti qu'on a envie de baffer en permanence.

Cependant, si on oublie ces défauts, on peut voir dans Bernard et Bianca au Pays des Kangourous un message écologique. En effet, le fait que le méchant soit un braconnier capturant des animaux pour les vendre ou encore les transformer en portefeuilles, sacs à mains... suggère une métaphore de l'Humain exploitant la nature à des profits économiques tandis que cette dernière se défend et tente de survivre tant bien que mal face à la menace de l'avidité et la cupidité humaine manquant de la détruire.

Propos davantage renforcé par la mort de McLeach tué dans une chute d'eau symbolisant ici la nature reprenant ses droits malgré la cruauté humaine.

Ainsi, en tant que film, Bernard et Bianca au Pays des Kangourous est agréable à voir malgré ses défauts. En effet, c'est un film d'aventure sympathique empli de tension et de dangers dans une nature immense pratiquement désertique et oppressante. De plus, la plupart des personnages étant appréciables, on ne peut que s'inquiéter pour eux en espérant que le pire ne leur arrive pas lorsqu'on regarde l'oeuvre.

Malheureusement, un énorme défaut persiste. En effet, ce film est censé être la suite de Les Aventures de Bernard et Bianca. Et en tant que tel, il échoue sur de nombreux points. L'ambiance pas toujours joyeuse de l'univers est passée à la trappe, Bernard et Bianca ne semblent pas avoir évolué par rapport au premier film alors qu'ils semblaient avoir gagné en assurance à la fin de ce dernier. Bianca a même régressé en devenant beaucoup moins intéressante que dans le premier opus.

Et pire que tout,

L'HISTOIRE EST EXACTEMENT LA MÊME QUE CELLE DU PREMIER FILM!

Alors qu'on aurait pu avoir une intrigue différente qui aurait enrichi davantage l'univers et été une nouvelle intrigue où nos personnages principaux auraient évolué dans le bon sens, à la place on a un copier-coller du premier opus; à savoir un enfant qui se fait capturer par un méchant cupide voulant se servir de lui pour arriver à ses fins qui doit être sauvé par deux souris.

Bref, si Bernard et Bianca au Pays des Kangourous est un bon film, on ne peut que sentir un manque d'inspiration quand on a vu Les Aventures de Bernard et Bianca.

À voir? Difficile à dire.

BlackBoomerang

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9

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