C'est celui qui dit qui est !
Bernie sort de l'orphelinat et veut élucider un mystère : celui de sa naissance.
Quand je vois les notes de certains de mes éclaireurs sur ce film, j'en suis à vouloir mettre au clair à mon tour un mystère : peut-on décemment rester amis ?
Sérieux, « Bernie » c'est merveilleux. C'est entamer le voyage pour savoir d'où tu viens, pour savoir où tu vas.
« En même temps, des poubelles, doit y'en avoir des pas trop sales. Si y'en a une remplie de coton ça fait comme un couffin ». C'est pas beau ça ?
C'est un poème urbain, la misère totale filmée comme un Tex Avery en dégueulasse mais ça passe.
C'est trash, c'est morbide, c'est gore .
Putain de moi !
C'est cracher sur un transfo pour faire des feux d'artifices pour éclairer les jolis yeux de ta Juliette.
C'est manger des oiseaux pas trop cuits.
C'est aimer les hyènes.
C'est rouler en première, c'est manger du hachis parmentier, c'est escalader des tuyaux.
C'est aiguiser sa pelle sur un rail de sécurité.
C'est jouer du piano avec ta belle-fille.
C'est faire d'un pauvre mec un bélier pour défoncer une porte.
C'est des enculés qui s'en prennent à un bébé, putain !
C'est récupérer une clé dans le fondement de Roland Blanche.
« Bernie » c'est du bonheur les amis.
Djieke.
(qui n'en a rien à foutre car il est fou).
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