Vous vous souvenez de ce biscuit moelleux des années 80-90 qui se déclinaient avec un coeur de fruits ou des petites de chocolats ? Captain Choc de son prénom. A priori, rien à voir avec ce nouveau film du MCU si ce n'est la possibilité pour moi de placer un titre à ma critique.
Et pourtant.
Captain Marvel, introduite dans la scène post-générique d'Infinity Wars nous offre ici une production de bonne facture derrière les traits de Brie Larson. Avec une histoire de quête identitaire somme toute classique, on navigue dans un revival nineties (Tiens ! Comme le titre de ma critique) fait d'une nostalgie diffuse aux petits clins d'oeil bien sentis.
En jouant sur l'inconnu, sur les apparences et sur l'association de Fury et Vers (prononcer Virsse) en mode buddy moovie, la réalisation arrive à insuffler une énergie et un caractère sympathique à un ensemble qui ne se prend pas toujours au sérieux (bonjour le Flerken) sans pour autant oublier de garder une certaine classe (Tiens ! Comme le titre de ma critique) grâce principalement à l'accomplissement de son héroïne.
Malgré son fond très convenu, ce Captain Marvel est donc une parenthèse bienvenue, lien entre le passé et le futur des Avengers, qui réussit à tenir la route sur ses 2 heures. Surtout que la fin du jeu fut une déception majeure.