Difficile d'écrire le contraire : c'est sûr que ce festival de très belles filles aura de quoi aguicher l'oeil masculin lors de scènes de scènes dansés et chantés ma foi pas déplaisantes, et ce tandis que la gente féminine devra elle se contenter d'Adam Garcia (ca va encore) et de... John Goodman (pas de chance). Reste que devant cette « success story » fadasse et gentillette, faussement audacieuse au vue de son sujet de départ, difficile d'imaginer d'autres personnes que ces chères midinettes pour s'enflammer devant un « show » on ne peut plus prévisible et se complaisant dans les facilités les plus grossières (la difficulté de départ lors de l'arrivée à New-York, les copines, l'opposition avec l'une d'entre d'elles, la rencontre avec le gentil et joli garçon...) Alors après c'est vrai que ce n'est ni vraiment désagréable ni vraiment mal fait, mais ces « Coyote Girls » apparaissent tellement comme une redif de redif de redif que c'est en définitive bien l'aspect insignifiant de l'entreprise que l'on retiendra. Limité...