yipee-kay-yay, helicopter!
Bon ben ça fait ce pourquoi c'est prévu : ça te vide relativement la tête à coup d'action et de punchlines.
Mais le réalisateur mérite le bûcher (rien que pour le plan final il mérite de regarder quinze fois La mélodie du bonheur d'affilée). En plus, l'acteur de McClane jr. est une merde.
Mais SURTOUT et c'est impardonnable, le mec responsable du scénar' a pas dû piger que la Guerre Froide est finie, ni que d'habitude, McClane est là au mauvais endroit au mauvais moment. Là il lui fait chercher clairement les emmerdes en jouant l'Américain de base avec un flingue. J'ai d'ailleurs toujours pas pigé en quoi la CIA était intéressée par ce foutu dossier. Tout est prévisible dans les moindres détails (sisi, le coup de la fille en particulier), et puis franchement : Tchernobyl ? Ils n'ont même pas eu de problèmes à passer la frontière avec l'Ukraine alors qu'ils se sont mis le premier ministre à dos et qu'ils ont le coffre de leur voiture volée chargé jusqu'à la gueule d'armes tchétchènes ! Y'a que moi que ça choque ou bien ?
Ah et puis ils auraient pu trouver un meilleur moment pour caler leur "Yipee-kay-yay motherfucker" quand même. Là ça fait presque comme si Bond demandait son vodka-martini à la buvette d'un bal de fin d'année : ça passe difficilement.
On va dire que les scènes d'action sont responsables des points, surtout celle qui fait une pub en or pour un 4x4. Ce qu'il y a entre elles, par contre...