Réalisé par Hopkins en numérique sphérique avec un budget minuscule, c'est un succès et 1 prix de la critique. L'enfant du cauchemar commence par une scène-choc sur des images aux effets superbes, pour donner une nouvelle vie à l'intrigue des personnages qui s'immergent dans les dimensions de son univers. Les éléments progressent autour du sujet, pour se faufiler progressivement entre le présent et le passé, en ramenant le monstre dans la réalité.
La violence surgit pour réitérer un massacre sanglant, avec un mélange de réalité et d'illusion qui permet de relier les détails en relançant la terrible confrontation. Les éléments rebondissent pour présenter les effets classiques de la saga, qui maintiennent la tuerie dans une spirale de délires prévisibles. Le monstre est déchaîné par le combat qui sombre pour réunir les personnages dans un dédale grotesque, lors d'un long dénouement violent, pour cette œuvre de série B qui offre une image plus sophistiquée, en s'appuyant sur les principes habituels de la saga, mais sans la moindre originalité.
Entrées Salles France : env. 260.000 - Entrées Salles Usa : env. 5.600.000 – Entrées Salles Allemagne : env. 210.000.
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