Adapté du roman, produit par de Laurentiis et réalisé par Webber en 2K anamorphique avec un gros budget, c'est un succès. Les origines du mal commence par l'enfance du personnage confronté à la brutalité de la deuxième guerre, avec une bataille qui se déroule pour raviver l'horreur de ses démons. Le style de sa saga débute l'intrigue avec une transition temporelle qui conduit le personnage à traverser l'Europe, submergé par ses traumatismes.
Les éléments s'infiltrent dans la culture des différences, à travers les relations liées à la notion de puissance, qui mènent progressivement au terrible criminel. Le style académique se répand sans véritable cohérence pour se diriger vers le début des horreurs, avec le machiavélisme éminent du personnage dans une traque sanguinaire. La confrontation monstrueuse se dévoile dans l'implacable destin de la saga, lors du long et violent dénouement, pour cette œuvre détaillée qui évoque une série B un peu trop confuse, terrifiante et sans intérêt.
Entrées Salles France : env. 700.000 - Entrées Salles Usa : env. 4.080.000 – Entrées Salles Allemagne : env. 510.000 - Entrées Salles Espagne : env. 600.000 - Entrées Salles Italie : env. 940.000 - Entrées Salles Uk : env. 820.000 - Entrées Salles Russie : env. 740.000 - Ventes Vidéo Usa Semaine 1 : env. 490.000.
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