Critiques de Jour de colère

Aurea
9

Un Rembrandt vivant

Il existe une ressemblance étroite entre une oeuvre d’art et un être humain : tous les deux ont une âme. Quiconque a vu mes films (les bons) saura quelle importance j’attache au visage de...

le 26 juil. 2016

95 j'aime

72

Sergent_Pepper
9

«Rien n’est plus silencieux qu’un cœur qui a cessé de battre.»

Dreyer, tout le monde le sait, rime avec austère. Alors qu'il a exploré la transfiguration dans La Passion de Jeanne d'Arc et affiné ses expérimentations esthétiques sur Vampyr, il aborde ici le...

le 12 déc. 2013

63 j'aime

4

Rawi
9

Critique de par Rawi

Jour de colère est un démenti à tous ceux qui pensaient que Dreyer n'avait pas su s'adapter au cinéma parlant. Alors oui, certes ce film est très proche plastiquement de l'univers du muet mais ça ne...

Par

le 17 déc. 2013

32 j'aime

13

Bestiol
7

Critique de par Bestiol

Au début, on est surpris parce que ça parle (dans notre inculture, on croyait que Dreyer n'avait fait que du muet). Et puis ça recommence (comme dans _La Passion de Jeanne d'Arc_) : ces faces, bon...

le 7 févr. 2011

28 j'aime

LeBlogDuCinéma
9

Ce ténébrisme pictural possède une grande influence sur la disposition de notre âme.

Lecteur, es-tu disposé à remonter la pente du temps, délaisser l'espace de quelques minutes l'instant présent, te suspendre dans l'air d'une époque qui rappelle les pages désuètes et jaunies d'un...

le 18 nov. 2011

13 j'aime

1

Morrinson
8

"Rien n'est plus paisible qu'un cœur qui a cessé de battre."

Jour de colère commence un peu comme se terminait La Passion de Jeanne d'Arc 16 ans plus tôt, à savoir le procès en sorcellerie d'une femme dont l'obtention des aveux se fera dans une grande douleur...

le 5 avr. 2020

10 j'aime

oscarhauton
8

Aucune faiblesse...

Je précise que c'est mon premier Dreyer (et ma première critique en passant), je ne le connaissais pas, et ses films non plus pour être franc, mais je pense me rattraper vu la qualité de cette...

le 1 déc. 2013

6 j'aime

1

batman1985
7

Sans cette austérité...

Je continue, à un rythme de sénateur, la découverte du cinéma de Carl Theodor Dreyer. Avec Jour de Colère, le cinéaste nous plonge en plein Danemark aux XVIIème siècle. Un pasteur a épousé une jeune...

le 14 mars 2019

5 j'aime

4

Trilaw
8

« Je te vois à travers mes larmes mais personne ne vient les essuyer »

Jour de colère qui possède un titre magnifique dénonce l’absurdité et le fanatisme des abus du clergé notamment les accusations farfelues de sorcellerie. J’aime bien les vieux films qui traitent de...

le 20 févr. 2023

5 j'aime

1

Nolwenn-Allison
7

"Je vois à travers mes larmes, mais personne ne vient me les essuyer"

XVIIe siècle, Danemark. La chasse aux sorcières bat son plein, avec tout son lot de cruelle mauvaise foi qu'on lui connaît. Absalon, le pasteur, a épousé la jeune Anne, fille de sorcière, et...

le 1 déc. 2013

5 j'aime

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