Bien sûr qu'il y a une obscénité dans ce documentaire, qu'on peut adresser mille reproches à l'imbécile heureux qui est en est l'auteur, mais il ne faut surtout pas oublier de dire que ce contenu est AVANT TOUT d'une MÉDIOCRITÉ consommée, avec des musiques nulles à chier, des plans nuls à chier, des transitions nulles à chier, de la pensée nulle à chier. C'est relativement irregardable, d'ailleurs je n'ai pas vu une seule seconde du documentaire. Encore une fois l'angle moral polarise tout le monde et crée de la confusion, alors que l'angle purement esthétique crée une division plus nette : il y a les sous-hommes et les gosses qui aiment cette merde et les gens sérieux et sauvables qui la conspuent.