Vu longtemps après sa timide sortie en salles, KillerJoe m'a paru comme LE role de Mcconaughey, non pas seulement celui qui lui a permis de décrocher le role-titre dans True Detective mais également celui qui a complètement changé sa carrière.
Avec un postulat de départ complètement loufoque mais terrible, le film va enchainer les situations absurdes rarement vu à l'écran cinématographique jusqu'à la mythique scène du poulet fraichement débarqué du KFC, aucuns mauvais gout là-dedans, juste de l'éclate à l'état pure.
Autour de ces personnages et d'un réçit des plus excentrique , le personnage le plus normal ou du moins le plus proche de nous s'avèrera etre le fils, progéniture qui a déclenché le plan pour faire assassiné sa mère afin de toucher l'assurance vie. Ce qui s'avéra un échec.
Aux cotés de toute cette galerie de clowns, se promène Juno Temple alias "12 ans", enfermé dans un corps d'adolescente pré-pubère qui est aussi attachante que dérangeante.
Pour le premier film que j'ai vu de William Friedkin, le bonhomme intéresse autant qu'il interpelle, j'aime à croire que le reste de sa filmographie est de meme voir meilleure.
Comme dirait Hansel "je le tiens Joe!"