Tu contemples ton âme, dans le déroulement infini de sa trame.
Les prises de vues qui ouvrent Koyaanisqatsi sont une invitation : à se délester des attentes du récit et du propos pour se laisser aller à la contemplation. Pour peu qu’on se laisse prendre à cet...
le 8 févr. 2015
144 j'aime
16