Un cran supérieur à son prédécesseur, « L'Arme fatale 2 » se pare de scènes d'action encore plus abouties mais surtout d'un scénario plus « politique » sur fond d'apartheid, plus élaboré et surtout plus intéressant : une suite placée sous le signe du « + », en somme. Richard Donner reprend donc la formule qui avait fait le succès du premier volet, mais en la bonifiant presque à tout point de vue, le duo vedette et l'humour quasi-omniprésent (ah, Joe Pesci : ce mec est vraiment génial) s'occupant du reste. L'efficacité faite film.