Mon Dieu ! Mais quel plaisir de découvrir ce genre de pépite des années 90 !
Tout le long du film, on ressent un sentiment de malaise, un malaise appuyer par les décors dégueulasses de cette magnifique ville qu'est New York, un horrible malaise qui est reflété par la paranoïa de notre cher Jacob, un homme qui a été qu'un simple instrument de guerre, un instrument totalement inutile comme le conflit dans lequel il s'est battu, mais à vrai dire ce conflit n'est qu'une transition vers un autre, un conflit intérieur interminable et insoutenable qui s'avère d'être une fatalité inévitable.
L'Échelle de Jacob c'est le genre de film qui ne peut être résumer en quelque phrase et mérite qu'on l'étudie en profondeur.