C’est le 2e opus de la trilogie du Monocle, à mi chemin entre l’esprit du Monocle noir et du Monocle rit jaune.
1944 les Allemands cachent une grosse quantité d’or et de documents dans une grotte sous-marine corse. Aucun membre du commando ne doit survivre tous sont tués sauf un. Pendant 18 ans le survivant (Paul Mercey) tente de récupérer l’or. Mais il faut de gros moyens et avec les services secrets alliés aux trousses ce n’est pas facile. Après avoir réuni une équipe il accepte l’aide des français. A la France les documents et une partis de l’or pour se rembourser, au survivant le reste. Le commandant Théobald Dromard (Paul Meurisse) et son adjoint Lucien Poussin (Robert Dalban) auront la lourde tâche de veiller sur leur indicateur, qu’anglais et russes veulent récupérer ou au pire liquider. Sans oublier la république fédérale allemande qui compte sur son espionne de charme Erika Mulger (Elga Andersen).
Les coups bas et couteaux dans le dos sont au rendez-vous dans ce film d’espionnage enlevé. Paul Meurisse adapte le commandant Théobald Dromard à son style de jeu et le rend comique. On aperçoit même Georges Lautner au début du film dans le rôle d’un officier allemand. A noter aussi le prestation de Maurice Biraud au jeu inconstant j’ai trouvé, Charles Millot (le commissaire Markov) et Henri Cogan (l’homme de mains des anglais).