Le Gang Anderson ressemble à s'y méprendre à un film anglais. La photo crue, le côté réaliste et un peu cheap, sûrement. On est très loin de la flamboyance décalée d'Ocean's Eleven ou de Topkapi. Très, très loin.
Sean Connery, braqueur patenté, retrouve la liberté et son «travail» après dix ans de taule. Il décide de cambrioler tout un immeuble de méga rupins à New York. Pour cela, il engage une équipe (dont Christopher Walken dans son premier film) de truands.
Pas de bol, chacun des types est placé sur écoute pour des raisons différentes. Dès lors, Lumet utilise ces mises sur écoute pour éclater la réalisation et le récit.
Plutôt une bonne idée au départ, mais je sais pas, il manque un truc.