Je me rends compte qu’à chaque fois qu’un film traite des animaux ou de la famille ça part en roman… celui-là survole les deux en passant par la différence que j’aime tant !
Prédictions césariennes :
- meilleure BO
- meilleur espoir/acteur pour Paul et le loup
Contexte :
Dans la salle avec un spécimen visiblement aussi sensible que moi, on a sursauté, on a ri et on a surtout surtout beaucoup pleuré puis on a repris notre respiration.
Contenu :
Des bêtes plus fantastiques les unes que les autres, plus elles se transforment et des hommes toujours plus cons les uns que les autres… à part peut-être une femme (comme par hasard !!)
L’impuissance d’un parent face au destin tragique et inévitable qu’il laisse à sa progéniture (hyper d’actualité, c’est bien pour ça que j’en voulais pas)
Résultat :
Pourquoi j’ai pleuré ?
L’angoisse de la séparation évidemment…
Mais aussi la confirmation que la beauté de l’évolution est utopique, le changement n’existe finalement pas car l’être humain est voué à s’autodétruire aussi merveilleuses les découvertes puissent apparaîtrent.
Tout est pourtant si beau. (Et ça je ne le saurais que pas assez si je ne l’avais pas gardée, elle)