J’ai vraiment été marquée par cette esthétique froide, silencieuse, et cette impression de délabrement qui se dégage de l’appartement du Samouraï, rythmée par le chant d’un oiseau en cage.
J’ai vraiment trouvé dans ce film une ambiance de roman, je ne sais pas exactement pourquoi… peut-être est-ce la quasi totale absence de musique (mis à part un très bon thème) et de dialogue (excepté ceux purement nécessaires), qui nous laisse le loisir d’observer et d’entrer dans ce même état de calme que procure la lecture d’une description.