Un groupe de hors-la-loi parvient à s’échapper de prison avant de rencontrer sur leur chemin un certain Chaco, figure du mal absolu. Sadique et pervers, celui-ci parvient à gagner leur confiance avant de les droguer et les dépouiller, tout en violant la femme et en torturant l’un des hommes.
« Les quatre de l’apocalypse » est réellement un western à part quand bien même son pays d’origine, l’Italie donc, produisit certains des westerns les plus baroques et fous. Ici, Lucio Fulci ramène son récit encore plus loin. Le film est empli de scènes et d’images marquantes qui restent à l’issue de la projection. De la ganache terrible de Chaco jusqu’à cette scène émouvante d’accouchement au milieu d’une ville montagneuse en passant par cette séquence complétement onirique dans une ville fantôme.
Un western bancal sur le papier mais qui parvient, par je ne sais quel miracle, à fonctionner.