Critiques de Limonov, la ballade

Sergent_Pepper
8

Maxi driver

Après avoir suivi la descente aux enfers de la Femme de Tchaïkovski, Kirill Serebrennikov embrasse une nouvelle destinée contrariée, celle d’Edouard Limonov, représentant d’une Russie en voie de...

le 5 déc. 2024

17 j'aime

Plume231
4

Journal d'un raté !

Edouard Limonov, un loser bisexuel, flamboyant, un personnage dostoïevskien, excessif, souvent incontrôlable, qui a eu mille vies, au cours de la seconde moitié du XXe siècle et les vingt premières...

le 5 déc. 2024

14 j'aime

4

LucaCalifano
8

Une leçon de cinéma

Une véritable claque de mise en scène. C'est hyper riche et rempli d'idées visuelles. Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu des plans séquence aussi fous ! kirill Serebrennikov nous propose...

le 13 nov. 2024

4 j'aime

LaRouteDuCinema
6

Vous avez vu Taxi driver ?

Une fois n'est pas coutume, je trouve que le synopsis résume parfaitement le contenu du film. Un aperçu de la vie de cet homme mort en 2020. Je ne le connaissais pas et me suis donc informée sur les...

le 5 déc. 2024

2 j'aime

Cinephile-doux
6

Poète et voyou

Que deviennent les grands réalisateurs russes, en ces temps incertains ? Le prochain Zvyagintsev est pour bientôt, semble t-il (tourné en dehors de la mère-patrie) et Serebrennikov s'est attaché,...

le 5 déc. 2024

2 j'aime

Dormir_Debout
7

Toxic Writer

Au début, la grenade peine à être dégoupillée (tout l'inverse de la Fièvre de Petrov). On sent Serebrennikov coincé dans un format serré en noir et blanc, incarnation de l'URSS. On sent Ben Whishaw...

le 6 déc. 2024

1 j'aime

lhomme-grenouille
5

« Dans mon œuvre, je ne parle jamais vraiment que de moi. » (Et c'est un triste constat.)

Deux heures et trente minutes de projection et à la fin cette étrange question : mais au bout du compte, de quoi ce film entendait-il parler ? Quel était son sujet ?Bien sûr, l'interrogation n'est...

il y a 7 jours

1 j'aime

Timourr
9

Critique de par Timourr

Le film est à la fois beau et dégeulasse. Son personnage principal représente à merveille ce qu'est l'âme russe, régit par la passion et les contradictions.

il y a 3 jours

Fenetre_sur_salle
6

Critique de par Fenetre_sur_salle

Un film vu au Festival de Cannes en mai dernier et qui m'avait laissé une impression mitigée.La réalisation est impressionnante de maîtrise, comme d'habitude chez Serebrennikov, qui confirme qu'il...

il y a 7 jours

Christoblog
5

Un autoportrait ?

Serebrennikov, c'est l'escalade permanente vers toujours plus de virtuosité.Les mouvements de caméra dont le réalisateur russe est friand trouvent ainsi dans ce film une expression complètement...

il y a 8 jours