7
"I am nervous"
Toutes les limites de la caméra embarquée affleurent dans ce documentaire qui semble souffrir des mêmes limitations qui ont eu raison de son sujet, L'homme qui tua Don Quichotte de Terry Gilliam...
le 8 mai 2016
4 j'aime
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Lost in La Mancha par Lise_P
Pour se faire une idée de ce que ça représente de tourner un film, pour regretter de jamais voir ce film aussi...
De l'optimisme et l'émerveillement du début, Gilliam et le spectateur passent rapidement à la désillusion. Pourtant, c'était pas faute de bonne volonté. L'ancien des Monty Python a l'air de s'amuser vraiment et puis petit à petit, les ennuis arrivent. Au départ c'est léger mais additionnés, ils finissent par condamner le film.
C'est difficile de s'imaginer que toutes ces catastrophes puissent arriver à un seul réalisateur sur un seul tournage. On éprouve un peu la même sensation que devant les petites animations de Gilliam, ces situations totalement décalées qui mêlent photo, collage et couleurs bariolées. Un départ sérieux, vraisemblable, puis du grand n'importe quoi, une impression d'absurde. On refuse pratiquement d'y croire.
On en ressort triste pour le réalisateur mais content qu'il reste une trace de ce tournage épique.
De l'optimisme et l'émerveillement du début, Gilliam et le spectateur passent rapidement à la désillusion. Pourtant, c'était pas faute de bonne volonté. L'ancien des Monty Python a l'air de s'amuser vraiment et puis petit à petit, les ennuis arrivent. Au départ c'est léger mais additionnés, ils finissent par condamner le film.
C'est difficile de s'imaginer que toutes ces catastrophes puissent arriver à un seul réalisateur sur un seul tournage. On éprouve un peu la même sensation que devant les petites animations de Gilliam, ces situations totalement décalées qui mêlent photo, collage et couleurs bariolées. Un départ sérieux, vraisemblable, puis du grand n'importe quoi, une impression d'absurde. On refuse pratiquement d'y croire.
On en ressort triste pour le réalisateur mais content qu'il reste une trace de ce tournage épique.
8
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le 9 avr. 2011
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