10 minutes de dialogue complétement nié entre gainsbourg et dalle où la réalisatrice nous apparait déjà comme extrêmement antipathique. un chaos incompréhensible règne sur le tournage sans réelle vraisemblance, la moitié des personnages n'ont rien à foutre ici et devrait être exclu manu militari mais pour on ne sait quelle raison l'autorité n'est nul part mais les cris sont partout, soit. la scène de fin est immonde je n'ai pu finir qu'en écoutant à moitié, mon corps étant déjà prit de convulsion (ironie). Tout semble superficielle à un degrés rarement atteint, Noé n'a jamais était un grand narrateur mais sa mise en scène pouvait souvent rattrapé le tout, ce qui en soit fait sa force, ses images sont plus parlantes que ses dialogues, mais quand on ne peut regarder l'écran je ne vois pas bien ce qui peut sauver la pauvreté de son écriture, je préfère encore un film comme mandy qui à le mérite de se taire. Les citations sont lourdingues et ne font qu'amplifier l'impression de narcissisme qui se dégage du réalisateur, le vrai cette fois, Noé. les intrigues se bousculent sans commencement ni conclusion, donc oui le chaos est présent mais sans aucunes formes d'ordre naissant, se tourner vers Bertrand Mandico semble être la meilleur option, du cinéma bourgeois encore mais avec une vraie proposition.