À chaque fois que je vois un film de la franchise Mission Impossible je me dis ‘’Waouh, ça c’est du cinéma !’’ : une intrigue prenante, des acteurs qui assurent, et surtout des scènes d’action très spectaculaires. J’ai d’ailleurs les 6 premiers opus en Blu-ray. À la manière d’un James BOND, espionnage et voyages sont également au rendez-vous :-)
Et alors que le monde entier commence à constater – avec une certaine appréhension – le pouvoir de l’Intelligence Artificielle, c’est justement le sujet de Dead Reckoning. Aidé de son équipe habituelle (voir le précédent volet), Ethan HUNT exécute sa mission en tandem avec une voleuse espiègle nommée Grace. Ils doivent récupérer une clé (le MacGuffin du long-métrage^^) afin de neutraliser une technologie qui met en péril l’humanité. Mais l’IMF n’est pas seul sur le coup….
Comme ses prédécesseurs, ce septième épisode a son morceau de bravoure exceptionnel : Tom CRUISE (non doublé) saute d'une falaise à moto avant d'ouvrir son parachute. Sans parler d'une spectaculaire – et amusante – course-poursuite en voiture dans les rues de Rome. C'est ainsi que l'acteur distingue ses productions des blockbusteurs bourrés d'effets numériques. Et le final – dans un train qui plonge dans le vide – présente un suspense particulièrement intense.
À noter que pas moins de quatre personnages féminins jouent un rôle important dans le film.
Ce premier volet manque juste un peu d'émotion mais cela devrait être différent avec la conclusion (Dead Reckoning 2). En tout cas, Tom CRUISE mérite largement un Oscar d'honneur pour sa contribution au cinéma américain à vocation internationale, notamment pour avoir sauvé l'exploitation en salles avec Top Gun: Maverick après la pandémie (dixit SPIELBERG).
Comme ce fut le cas avec d’autres sagas, Mission Impossible se termine avec un diptyque dont la deuxième partie arrive en 2024…