Résumé : Une force mystérieuse a fait sortir la lune de son orbite sur une trajectoire qui la conduit à une collision avec la Terre. Alors que l'impact approche la directrice de la Nasa doit collaborer avec un astronaute de son passé et un théoricien, en déclenchant une mission pour sauver l'humanité.
Histoire : Le concept crée une situation inédite aux images fantastiques, avec un niveau d'effets jamais atteint. Le réalisateur place les personnages devant des catastrophes démesurées, où rien n'est trop grand, et il décide de débuter par la présentation du méchant. Le film aborde l'intelligence artificielle avec des objets qui possèdent une sorte de conscience. La conception de la chose, appelée anomalie, implique un ensemble de théories mathématiques de Mandelbrot qui modifient la forme à l'infini tout en restant structurée et organique. Pour l’intérieur et le système de moteurs, l'équipe conçoit des anneaux gyroscopiques qui donnent l’énergie à la propulsion, en créant un champ magnétique pour l’atmosphère. Pour les effets, le réalisateur s'accompagne de 700 personnes aux images aidées d'un story-board en 3D, qui conditionne l’antigravité afin que tout s'envole. L'idée est de développer la catastrophe à travers les émotions des personnages, plutôt que d'utiliser des images-chocs. Réalisé avec un budget de 150m$, il rapporte 72m$ et ne reçoit aucune récompense.
Équipe : Coproduction, coécrit et réalisation de Roland Emmerich, connu pour Stargate, Godzilla. La production et la musique d'Harald Kloser connu pour Midway. La musique de Thomas Wanker connu pour Alien vs predator. Les effets de Guillaume Murray connu pour Riddick, X-men dark phoenix. Côté casting, Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley, Charlie Plummer, Kelly Yu.
Avis : Les idées s'enveloppent dans une catastrophe énorme en suivant le temps à travers les personnages qui livrent les détails d'une théorie habile et captivante. Les effets spéciaux spectaculaires s'enroulent autour des personnages qui préparent une dernière mission pour tenter de sauver la planète. Le concept se dévoile dans un voyage à l’intérieur de l'espace avec un suspense et une créature somptueuse, malgré quelques défauts.
Critique : Le lancement d'une fusée s'alterne au générique, pour reprendre en 2011 sur la réparation d'un satellite avec les personnages qui sont victimes d'un accident spatial. L'action se transforme en une tragédie qui révèle un drôle d'élément dans l'espace, pour refaire une transition sur l'affaire. L'atmosphère de science-fiction démarre comme un drame qui se répercute 10 ans plus tard avec l'histoire d'un autre personnage. Les visions anormales de la lune regroupent les personnages dans plusieurs directions pour opérer un lien avec le début. La science de l'espace déclenche une menace importante en reliant les indices dans un rythme dynamique. Les effets s'alternent à la vie de famille des personnages, pour entamer une première mission afin de comprendre les mouvements anormaux dans l'univers. Le chaos s'installe pour assurer le spectacle en réunissant les personnages avec un style de superproduction captivant.
Une créature apparaît pour achever la mission qui modifie le champ gravitationnel en rapprochant la lune. L'intrigue se transforme en horreur avec les conséquences de la catastrophe qui déploient d'immenses théories. Les détails s'assemblent avec le début pour s'enfoncer dans une science-fiction qui accentue la difficulté en organisant la fuite des autorités. Les personnages se retrouvent à l'origine de l'histoire dans le délire de la technologie alien aux messages incroyables qui les renvoient en mission. Les mécanismes relancent l’expédition avec les émotions de la solution d'un probable sauvetage au plan impressionnant. Les notions palpitantes du voyage vers la lune fabriquent une intensité redoutable qui maintient le spectacle au maximum dans un rythme idéal.
Le feu d'artifice d'images aux effets de l'espace propulse les personnages dans une ambiance spatiale qui avance vers la lune. Le changement de rythme continue le suspense avec une projection au cœur de l'espace qui ramène la créature féroce. Les issues se resserrent dans une opération de la dernière chance à l’intérieur du corps céleste qui accélère le rythme en déclenchant l'affrontement. L'histoire approche du dénouement avec des visions sublimes, pour un long final intelligent sur la science, dans un film de superproduction qui fait défiler un rythme génial pour envelopper l'intrigue d'effets qui garantissent la réussite de la belle aventure. Le style fantastique des éléments se maintient dans une attraction vertigineuse aux chocs incroyables, du début à la fin de cette superbe aventure.
> https://youtu.be/d_Ga3hrctCM
Ma 1ère critique du film écrite en 2022 > Coproduit, coécrit et réalisé par Emmerich en 8k anamorphique Imax avec un budget colossal, c'est un échec dédié vidéo. Moonfall commence par des images incroyables d'Apollo 11, pour revenir en 2011 au cours d'une réparation dans l'espace qui heurte de plein fouet un vent de radiations avec ses personnages. L'affaire s'enfonce dans une tragédie qui opère une transition de 10 ans pour arriver de nos jours et lancer ce qui s'annonce comme une catastrophe en reliant les éléments. Les mystères se développent en regroupant les personnages à des théories délirantes qui s'envolent avec l'accélération d'un tourbillon vers l'apocalypse. La mission et le déluge se cumulent pour produire des effets fantastiques qui réveillent les doctrines sur l’évolution des notions technologiques, en conduisant à l'opération du sauvetage de la dernière chance. Le plan déraille dans ses détails sur l'objectif en gardant le rythme des actions et l'angoisse de l'intrigue jusqu'à l'incroyable décollage qui redémarre les événements. Le voyage divise le récit dans plusieurs directions qui se commutent à l'espace avec un contact de la terrible créature, en rejoignant la lune aux images somptueuses. Les révélations dévoilent le compte à rebours de l'intrigue en effectuant un plongeon dans la science-fiction à l'origine de la création, lors d'un long dénouement spectaculaire, pour cette œuvre de superproduction qui offre une puissante vision du désastre spatial avec un graphisme excellent et un équilibre narratif efficace, malgré les défauts de crédibilité.